Journal des Parques J-3, -2, -1, 0…
Il y a l’œuvre qu’on ne fait pas, qui fait faire d’autres œuvres… qui les nourrit sans cesse… la grande masse qui est énorme… c’est beau… bonne nuit
En route
Il y aura toujours quelque chose au bout
Il y a l’œuvre qu’on ne fait pas, qui fait faire d’autres œuvres… qui les nourrit sans cesse… la grande masse qui est énorme… c’est beau… bonne nuit
Par son grand espace résolument vide, le Générateur se moque bien des démangeaisons que lui provoque la vermine qui quelquefois l’infeste.
Première nuit blanche. J’ai pris l’habitude de considérer mes nuits comme la succession de quelques heures et non comme un pan entier qui s’oppose au jour.
A l'occasion de la création des Parques d'attraction, Any Tingay, Anne Dreyfus et moi, sommes invité.es à séjourner une nuit complète à l'Hôtel Paradoxe
...volontairement seul et totalement nu, livré à soi-même, à quelques kilomètres d’une ville que l’on s’apprête, non à fuir, mais à investir...
Derrière les prétextes, homophobie, violence faite aux femmes ou tout autre racisme primaire, se cache la haine de l’enfance persistante
Que l’on me force à transiger et je largue les amarres pour d’autres cieux, triste, mais en cohérence avec mon désir d'autonomie
Homme femme, enfant bestial, femme enfant… la palette des identités se fait jour à travers l'animalité et les mythologies de notre espèce.
Théâtre, créature errante, éternellement mourante, à la dérive, flottant dans sa mer d'excréments comme une baleine cacochyme
Aujourd’hui, j’ai gardé en moi cette courte heure de pornographie ordinaire comme un de mes plus beaux moments de spectateur de cinéma.