En este momento estás viendo Je veux rester un étranger
Célula degenerando en paz | Acrílico sobre papel © David Noir

Quiero seguir siendo un extraño

QUIERO SEGUIR SIENDO UN EXTRAÑO.

Manifiesto sobre la violencia

Copyright © David Noir ® 2021

Distribuido por Smashwords

Página web dedicada a la actuación homónima

 

Un poco de brutalidad en este mundo de la poesía

Finalmente, si lo permites, ¡degeneraré en paz! Dieu mangea au KFC et il vit que cela était bon. Je me fous de la vie affective et sociale de mes contemporains. Qu’ils soient vivants ou morts, femmes ou hommes, inconnus ou célèbres, enfants ou vieux, de l’autre bout du monde ou de l’immeuble voisin, peu m’importe. La seule chose qui compte à mes yeux est ce qu’ils et elles peuvent bien avoir encore à fournir de généreusement singulier, pertinent et inventif, depuis leur mystère enfoui m’arrivant en écho du fond de leur caboche. Il ne s’agit pas d’être en bonne intelligence avec qui ne le souhaite pas, ni de « faire société », beurk, une bonne fois ! Il s’agit de mériter ses supposées capacités cérébrales d’individu évolué. Travailler, penser, questionner et si possible même, aller un peu au-delà. Il y a un prix à devenir humain : ne pas se contenter d’être. Se suffire apporte une belle dose de suffisance. Le contentement de soi est nécessaire et possible à la condition d’avoir une certaine conscience bien vécue de la médiocrité des efforts que l’on fait pour grandir. Inutile de se lamenter sur les horreurs de la vie si c’est pour se contenter de vivre. Et ton genre, et ta sexualité, et gnagnagna, et ton intolérance, et tes avis sur tout ce qui passe, et ton indignation à pas cher jusqu’à ce que tu rampes devant un nouveau pouvoir et change d’avis, et ton moi, moi, moi et ton j’ai le droit, et ta sensibilité, et ta famille, et tes enfants, et ton racisme imbécile et culturel ; ah ta culture oui, oui ; ton identité, oui, oui ; et ton anti racisme plus raciste encore, et ta religion, et ton réseau social, et ton art, ah oui ton art, et ton bon goût, pauvre merde qui ne sait toujours pas que tu es ce qu’on a fait de toi, toi qui pense exister par toi-même. Ta prétention à être mérite ton inexistence. Vis à vis de toi et de tout le reste, je veux rester un étranger. Mais un étranger doit-il toujours avoir le nez camus ? Je dois changer de visage. Tu n’es pas mon visage. Tu n’es pas mon projet. Mal aimé. Aimé de la mauvaise façon. Se trompe d’amis. Se trompe d’amour. Les paons (Léon !) ondulent à l’heure. Et bien en dessous du niveau de l’amer. Moi ma façon de résister c’est de m’inscrire le moins possible dans le rapport vécu comme social, de ne pas abonder dans le sens des indignations de convenances qui commencent et s’arrêtent aux portes des réseaux sociaux. Ma façon de résister est de considérer que penser en artiste est bien moins banal et bien plus exigeant que de produire de l’art. Idées reçues ! Une victime n’est pas quelqu’un qui pleurniche. C’est quelqu’un qui justifie les actes de son bourreau. Tiens, le tour des crouilles, une version raciste du chef d’œuvre de Henry James. Barbara stressante. Il y a tant de façade dans le couple. Burne funéraire. Les petites filles prétentieuses n’ont qu’à bien se la tenir. Chaque jour la pratique de l’art me semble d’une bêtise insondable. Je clamse seul… Dans les rues sans personne. Crade crade crade crotte crotte crotte. Dès l’aérocrade j’ai senti la crotte. Ici nougapork. Qu’il est beau mon pénis, qu’il est beau ! Oh too loose ! La complaisance cache le vide des relations quand vivre devient trop d’efforts. Parler directement des choses ne les aborde pas toujours. Le désert des steaks tartares. Je porte plinthe ce jour ou mon ordinateur me fichier. N’importe qui qui entrave ma marche peut devenir mon ennemi. C’est ça un ennemi, quelqu’un qui entrave ta marche. Chaque matin il ne me reste rien de la veille. Ma vie normale a disparu. Je ne suis pas au bon endroit. Pourtant je vais là où les gens sont les meilleurs. Mais moi je ne m’y trouve pas. C’est terriblement dur d’être soi. Quand presque personne ne le souhaite. Si l’horreur est là, tout près, bien présente, à deux pas, c’est aussi à cause de ça. Non, non je ne souhaite pas te provoquer ; te provoquer ce serait encore dialoguer. Je ne veux que dire et pas forcément que tu m’entendes. Les clichés de langage repris sans réflexion marquent le début d’un commencement de bêtise de la part de l’individu qui affirme soudain son existence en s’imaginant rejoindre un grand collectif. En renonçant ainsi à l’invention de lui-même il contribue à faire régresser ce qu’il croit contribuer à faire aller de l’avant : sa stupide idée d’un humanisme à 2 balles ; un humanisme qui ne lui coûterait pas d’autre effort que de dire « Pas de soucis », « Que du bonheur » ou pour le léger niveau d’intellect juste au-dessus, le redoutable « Faire société » et tout aussi beurk : « Le vivre ensemble ». Outre l’aspect indéniablement lèche-cul vis-à-vis d’un esprit du bon goût de l’époque que les décideurs et institutions reprennent également facilement à leur compte dans leurs choix esthétiques en matière de culture, ce refus ou absence de singularité personnelle fait de l’individu touché par cette contamination, une larve. Qui n’est plus de bon ton ? Entre Trump et John Waters, t’es bien emmerdé. Con à l’infini. Le conformisme imbécile des projets thématiques. Peut-être est-ce de la performance ? Qu’est-ce qu’un spectacle ? Une présence. Transposer l’art de la parole et du corps dans un costume. Le petit coup de stylo a son importance. Tous les jours je biffe et me rebiffe.

Lea sus borrados

Libre, no puedes ser tú, soy yo. No puede ser por ti, soy yo. Todo conformismo es sucio. La felicidad está en el préstamo bancario. La náusea de la raza humana - ¿náusea? ¡Oh, bueno! Tu cultura es tu límite. Cada día entre la audacia y la cobardía. ¿De qué manera el mayor número sería más capaz de enunciar un sistema de valores que cada individuo consulta aisladamente? En el singular, la suma de las unidades no es igual al todo. Pertenecer a un grupo es una trampa social. El perfo-romance "no se preocupa por el arte muerto". Sobre el artista rastrero. Llegada rastrera; besar los pies de los funcionarios culturales. Mira, Michel Simon como un gorila. Nos conocíamos, nos reconocíamos. He echado de menos mi traje de mono. Se necesita todo para hacer un monstruo, como decían Arnold y Willy. Todo este mundillo se está enjabonando para afeitarse, siéntate espectador. No me voy a contener. No voy a preservarte. No voy a matizar. No voy a incluirme ni ser sutil. Voy a escupir de mí lo que inspiras. Voy a vomitarte esto sin los adornos de la humildad o el estilo. Lo diré de forma sencilla. Voy a decir grande. Voy a escribir a lo grande porque cuanto más grande mejor. Porque te gustan los eslóganes que te simplifican la vida y te evitan pensar. Porque te gusta la publicidad, las zapatillas de moda y el bullicio. Pero también porque te crees mejor por amar la erudición, la cultura y la pedagogía. Porque eres el mismo, no importa cómo te veas. Lo mismo que todos los demás que crees que son diferentes. Porque no vas a cambiar, ni para bien ni para mal. Porque siempre has sido y serás el mismo. El mismo hombre, la misma mujer, siempre. Porque la tosquedad de su pensamiento sirve para matar el tiempo; porque la sutileza de sus argumentos sólo sirve para pasarlo por alto con el pretexto de que nos sería útil. Nosotros, el mundo. Porque crees, esperas que seamos el mundo. Mejor y más el mundo que otros seres vivos, que la cochinilla, que el virus o el perro. Mejor y más el mundo que el animal de matanza o el mosquito. Yo te enseñaré. Sí, voy a enseñarte, lo que ya sabes pero no eres consciente de saber o no te gusta saber pero lo sabes sin embargo. Te enseñaré desde este lugar en el que me desprendo de ti, en el que ya no soy como tú. La censura es para el cadalso, pero pocos la utilizan. El mundo social es una contaminación. Su pensamiento es la contaminación. El diálogo es la contaminación. Sucia derrota. ¿Por qué cuando entro en un teatro quiero salir? ¿Por qué cuando abro un libro al azar, no puedo esperar a cerrarlo? ¿Por qué me cuesta permanecer en mi asiento ante las imágenes del cine, su historia que se desarrolla y sus actores que pasan? ¿Por qué me resulta imposible escuchar más de la mitad de una pieza musical a la vez? ¿Por qué me ahogo en la cultura? Mi deseo. Quiero: un cuerpo que me lleve y unas piernas que caminen. No quiero saber quién eres en el fondo si antes tengo que enfrentarme a tu amabilidad superficial. Soy una suma de bulto que no soporta el ordenamiento estéril de los pensamientos de los pensadores. El chicle de Hollywood o las Pléyades, me da igual. Sin embargo, no tengo una pistola que sacar del bolsillo para decírselo. Sin bolos, sin Colombine. ¿El contexto está ahí? Dispara un tiro para el sí, dos tiros para el no. No quiero ser tú; no quiero ser tú. No me importa la "convivencia". Ya no vivo conmigo. No quiero hacerlo. Vivir cada uno para sí mismo sería vivir ya, ¿no? Si todo el mundo lo ha aprendido ya. Y una vez que estamos viviendo juntos, ¿qué hacemos maravillosamente? Sorbemos nuestra pacífica felicidad en la quietud y la armonía de todos? ¿Crees que eso es ser humano? ¿Es eso lo que quieres, esta falta de ambición morbosa? De bar en bar, de concierto en concierto, de cine en cine, de fiesta bonita en fiesta bonita, la vida sigue así... Mi problema es que, tal y como están las cosas, si tú eres el humano, satisfecho con tu pequeña existencia, chupando tu placer de dos bits, orgasmando con tu pequeño placer, no me interesas más que nada. No eres más que un guijarro al lado del camino, no más que una hierba entre miles, no más que uno de los miles de millones de mierdas que se producen cada día en cantidad. Nada, no eres nada. Nada que valga la pena. La normalidad usurpada. No hay nada peor en el mundo que el que piensa que tiene razón. Y sobre todo no tú; menos aún tú que te crees algo o alguien. Sólo alguien bueno, pero sobre todo nada. Pensar que eres algo a lo que se tiene "derecho" es realmente el engreimiento más estúpido e irreal del mundo. A ti que predicas la naturaleza a toda costa, deberías saber que para tu querida naturaleza no cuentas. Uno más de ustedes, uno menos de ustedes, ¡bof, bof, bof! ¿No siente que le falta algo a su jardín de flores? ¿Una meta, un objetivo, una constante? Sí, sí, ya casi lo tienes. La tensión, ¿no? ¿No es así a veces, el deseo de vivir, de avanzar, de correr ciertos riesgos una vez sólo para ver? Me molesta cuando la gente me quiere; me molesta cuando la gente no me quiere (B. Bardot, parece). La globalización es sobre todo la globalización de la mentira. Hablemos un poco de la contaminación y el medio ambiente, ya que está en el aire ahora mismo. Me sorprende que no se hable más de una contaminación que es tan dañina como las que escuchamos en los medios de comunicación, si no más, porque es la fuente de todas las demás: la contaminación mental. Debajo de todo esto, ¿qué hay? Está donde estamos y luego está el más allá. Ahí es donde tienes que ir. Y allí no está muy lejos. Es exactamente el mismo lugar que aquí, pero un poco más profundo. Más allá de esta capa de suciedad que sirve como su cultura e identidad. No necesitas inspiración para escribir. Se puede escribir sobre cualquier cosa, de cualquier cosa y de cualquier cosa. Puedes escribir sobre un pañuelo húmedo. Me cabreas como artista con tus formas estéticas; no eres nada; nada que valga la pena si no tomas el poder; el único poder que cuenta; el de destruir lo que no eres, lo que te impide ser; lo que te niega. Es decir, todo lo demás alrededor. ¿Destruir, dijo? ¿Sólo lo hiciste una vez? Pero, ¿lo has intentado siquiera, demasiado ocupado haciendo tus pequeñas familias, luchando tus pequeñas batallas, pensando que piensas. Una mierda tan grande como el culo que la produce. ¿De verdad crees que cuando hay arte es cómodo; de verdad crees que es compartido, esta cosa que debe aplastar todo en beneficio de su propia existencia? ¿Porque hay ministerios para eso? ¿Regular lo que normalmente debería llevar a su extinción? Tu chiste es bueno. ¡Ve a hacer tu música que encanta; ve a hacer tus pinturas que deleitan; ve a producir lo que no necesitamos porque la única necesidad indispensable es respirar aire nuevo, libre del miasma de tu propia cultura y tus creencias de dos bits y tus valores que crees que son sociales! Inventa tu vida, pobrecito, pero piensa antes de hacerlo porque no vendrá sola. Francés, un esfuerzo más... ¡para salir de tu mugre! ¿Paramos aquí? Me gustan las cosas incompletas; los fósiles y los agujeros en el texto. Estar interesado es anticuado. Para contrarrestar la violencia se necesita más, en otros lugares. Quieres tu revolución; contra la estupidez humana no se hará con suavidad. La gente merece ser condenada a muerte. ¡Ah, la broma! De hecho, ya lo son. Las verdaderas obras son secretas. No forman esa ridícula herencia que se vende como cultura. La lengua es la expresión del pensamiento colectivo. ¿Desprecio por la sexualidad o por los órganos? Más que una prohibición. Es una mierda. Me importa una mierda. Coño. De este desprecio surge la misoginia, la violencia, la homofobia... la sobrevaloración del niño. Tu cultura es tu límite. O la época te necesita, o no le sirves y no pasarás a la historia. No es usted quien elige estar en la historia o no. Es la época la que escribe su historia y tú tienes un papel en ella, mayor, menor o no. Que su existencia sea necesaria para la historia o absolutamente inútil no importa a los ojos de esta misma historia. El de la gran H. Todo es infinitamente reemplazable. Lo que significa que si no hubiera sido esta ficción, esta realidad, habría habido un número infinito de otras posibilidades. Incluso si lo reducimos a la nada, una historia no puede no haber existido. Una historia sólo tiene que tomarse la molestia de nacer. Respeto, honor y dignidad. ¡Guau! ¡Guau! ¡Guau! Una sociedad primitiva en la que una firma sirve para ponerse de acuerdo. Idiota, te haré todas las firmas que quieras, cavernícola. ¡La palabra dada! ¡Qué mierda! No tengo una palabra que dar. ¿Cuál es la regla, es un juego, no es un juego, es una trampa? ¡No tienes derecho! Y crees que puedes encerrarme por ello. Puede que la ley funcione así, pero no es la mía. Las víctimas reales son tan raras como los verdugos reales. Las leyes no están por encima de lo que es. Las leyes no crecen en los campos. ¿Qué es más importante en la vida de un hombre, su conformidad con el mundo social que lo alberga tanto como lo encierra? ¿Y quién se beneficia de esto? Ah, la libertad del insulto, ¡qué alegría! La alegría de la espontaneidad redescubierta.

Quiero seguir siendo un extraño

Quiero decir que este no es mi mundo. Quiero decir que no quiero esta convivencia urbana, cívica y social de cada momento que la vida en común quisiera perseguir. Quiero decir que tu compartir, el valor obligatorio de nuestros tiempos, me está asfixiando. Que su debate... ah el debate, las ideas de los demás. ¿Lo necesito? No, no lo creo. No siento nada de eso. Añoro la ciudad, no muerta, sino apagada y sin ver. La ciudad translúcida, especialmente no rosa, verde o cualquier otro color. Ciudad silenciosa. La mirada que me respeta es también la que no me mira. Y en cierto modo, nada de esto es asunto mío. Su entusiasmo festivo me hace rozar las náuseas. No hay identidad en el seguimiento del colectivo. Quiero seguir siendo un extraño. En los espacios sociales de la mascarada no se hace arte, y mucho menos se invita a ello. Al ir a sus espacios de convivencia compartida, la pisotean. Sólo hay una mierda en la que se camina así, sin darse cuenta de dónde se han puesto los pies. A fuerza de contorsionarte para ser aceptado, acabas rompiéndote la columna vertebral. El arte no hace profesión de tener una columna vertebral flexible. Tampoco soy gimnasta. Tal vez tú tampoco, si no eres una lombriz de tierra. Quiero seguir siendo un extraño. Hoy la subversión ha pasado, por desgracia, total y absolutamente al lado de los maleducados y los delincuentes; de los presidentes tuiteros y de los terroristas ignorantes. La corrección política está ahora en todas partes y su denigración es vista como una ofensa por los bienpensantes culturales, entre los que se encuentran los artistas (o al menos los creadores de arte que dicen ser artistas) y los promotores de arte, todos los cuales han sido agrupados en una gran y hermosa cesta y que ya no saben qué hacer, desposeídos de lo que solía ser su caballo de batalla, su propia fibra. Se ha puesto la tapa en el poste en el tramo final después de los setenta. Esto es lo que ha ocurrido en casi 50 años por su único gran defecto, el mundo social: una fachada de debilidad que se ha convertido en una garganta profunda. La máscara que la sociedad pone en la cara de cada individuo funciona como un parche. Se difunde y se adhiere a la piel. Se suelda a ella y milagrosamente tu profundidad, querida humanidad, se reduce a tu apariencia. Consumir consumiendo la conveniencia y la adecuación, ya sea desenfrenada o pseudo-libre u ofensiva, siempre que se normalice. El comportamiento vulgar se convierte en chic y apropiado. Pero a menudo nos equivocamos con lo vulgar... Que te jodan, que te jodan, que te jodan, que te jodan, eso es lo que deberíamos decir alto y claro cada día. Sin embargo, parece inútil hablar a quienes no pueden oír. E incluso a otros. Pero una persona a veces lo entiende. Así que, bueno. Que te jodan, que te jodan, que te jodan, que te jodan. Bueno, aquí están los anarquistas que adoran a los dioses y a los maestros. Que te jodan, que te jodan, que te jodan, que te jodan. Sin embargo, no debería ser un insulto "gilipollas". Gente maleducada, eso es lo que me encuentro en cuanto salgo de casa. El grosor frontal neolítico empujaba como una protuberancia en su cara. Radiación; un poco más allá de tu círculo de dos centímetros de diámetro alrededor de la trogne, de tu indelicado cerebro lambda, que habla, que berrea, que ruge. Y cuando tu desánimo toma la forma de reproche, te conviertes en lo que naturalmente eres: vicioso y lleno de odio y resentimiento en reacción a tu propia debilidad. Y tú me insultas en toda la gloria de tu villanía. Sí, eres un villano, uno deshonesto. No te culparía del todo si vivir según ese precepto fuera una solución envidiable, pero sería mentira que lo dijeras. Así no vivimos bien. El verdadero poder requiere profundidad. Al menos en un lugar. La de no agradar. Negarse es lo mejor que puedes hacer. Abrirse no es ser estúpidamente amable. Adorar es una estupidez. Decir no es distanciarse. Entonces veremos. Y otra vez. No estoy seguro. Años de psicoanálisis y ¿qué pasa después? No mucho. Mi verdad es que puedes salir del agujero del malestar, del malestar en el que has caído durante años, en quince minutos. Un poco más de tiempo, de hecho, de lo que costó ser empujado a ello. Una fracción de segundo, de hecho. Escucha a tu cerebro, que lo sabe todo. Eso es todo. Unos minutos para volver, sí, porque el inconsciente no es tan profundo. No es un pozo insondable, sólo un bache. Pero hay que seguir algo más que sus vagos instintos. Es su certeza. No escuches nada que se tambalee. No dejarse impresionar por la estúpida brutalidad que blande pancartas, eslóganes y exhibe insignias y pancartas en nombre de... no, nada, sólo de uno mismo. Lo que eres en este momento siempre será mejor que lo que planeas ser. Calcular lleva demasiado tiempo. Déjalo en manos de los ordenadores. El yo es otra cosa. No hay debate. Sobre todo no hay debate, intercambio, discusión. Sólo el retrato que surge ante los ojos de lo que uno es en este momento. Esto es lo que se expresa y debe expresarse. Esto es lo que es el ser. No se trata sólo de hablar de uno mismo. La firmeza sostiene el cuerpo y la mente. Tienes que confiar en ello. Es una vaina de soporte. Imprescindible. Es una visión sin histeria. Es una droga dura sin los efectos secundarios. Por fin, uno mismo. ¿Por qué se le ha hecho esperar tanto tiempo en la antesala de su existencia? No es bueno, ¿verdad? No sé nada al respecto; ¿lo he experimentado realmente? Lo digo porque sé que es así. En el mejor de los casos, cuando la situación es la peor. Pero tú estás en la vida, ¿no? ¿Proyectos, pareja, familia? Pongamos un ejemplo. Sígueme. ¿Es eso lo importante, ser padre, ser madre? ¿Es lo mejor que podemos conseguir, esta falsa transmisión? ¿En el primer grado de lo que dicta la naturaleza? Pero ni siquiera sabes qué transmitir a tus hijos, a tus hijas. Os encontráis, pensando que habéis dado el paso, como tontos indefensos. Ya he puesto fin al teatro. De un solo golpe, lo taché. Para mí. Terminado en su forma obsoleta y estúpida. No tiene sentido hacer el mismo programa cien veces para construir una carrera. Lo dicho, dicho está. Así que seguimos adelante. Me encanta la actuación, su práctica y sus técnicas, pero la actuación que sigue utilizándola es, la mayoría de las veces, la más tonta que existe. Lo único que puedo hacer es reflejarle la imagen de su engreída mierda social. Una pequeña misión de miseria implementada sin brillantez. También es tedioso. Porque el problema sigue siendo único y siempre el mismo desde la aparición de la conciencia: la cobardía. ¿Cómo se vive con ello? Así que, supera el disgusto. ¿Cómo se hace eso? No es porque, una vez más, se dibuje el retrato de la cobardía y la hipocresía que uno mismo se escapa, por supuesto. Tal vez sea incluso lo contrario. ¿Y para decir qué? Yo, por mi parte, sigo siendo un idiota.

Un poco de exigencia no hace daño e induce a la honestidad

Me cuesta escribir "estafa", aunque la uso habitualmente en el lenguaje hablado por uso, facilidad y conformidad. Me gustaría usarlo con menos frecuencia. Etimológicamente, "con" se refiere al conejo, especialmente a su nariz, y al sexo femenino. Me parece terrible que sea uno de los insultos más extendidos hoy en día. Sobre todo porque siento una gran atracción y a veces incluso ternura por las vulvas; todo depende de quién esté detrás o de quién tenga la cabeza en el otro extremo. Así que vamos a cambiar ahora. Así que hoy diré que ya no me tomarán por tonto. Seré respetado. Si es necesario, seré temido. Todavía no sé cómo, pero sucederá. Sucederá. Quiero que suceda y que no sea una cosa febril y ansiosa como la que heredé del mundo. Ser respetado empieza, obviamente, por conseguir el respeto a uno mismo, ¿no es así, me dirían los predicadores de la superación personal? Una tarea difícil, ¿no? Durante mucho tiempo, pensé que el valor era ponerse en dificultades. Lo confundí con las pruebas. Pero cuando no se ha aprendido nada, hay muchas confusiones para una cabeza que intenta poner las cosas en su sitio. ¡Y están contentos con ellos mismos, estos artistas gilipollas! Amar a la otra persona porque te ama es la primera cobardía. Querer agradar para ser amado es lo segundo. No debemos pedir a la naturaleza humana más de lo que puede dar. El amor no se puede construir. Me molestas con tus valores amorosos autoconstruidos. ¿Quién se ocupa de mi ira? ¿Trata usted con ello tal vez? Gestionar tu prostitución ante los demás y ante la sociedad es lo que tiene la vida social. Todo el mundo se defiende de la prostitución, mientras que todo el mundo vive bajo coacción, actúa bajo coacción. Sexo y sociedad - imágenes. La vida en pareja es una infección mortal para el individuo. Debería saberlo. Hablo porque no te callas. Hay tops. Hay debate. Sólo los que ven tienen razones para temer. El voluntario parece haberse convertido en la estrella amarilla de los pequeños nazis de la oficina de empleo. Los medios de comunicación hacen a los famosos. Los políticos hacen las imágenes del mundo. Y a veces la música hace ruido. Y a veces el discurso contamina. La poesía es lo que queda cuando la eficacia ha desaparecido. La eficacia es lo que queda cuando la poesía desaparece. Tratada como spam no deseado. ¿La experiencia de la comprensión y la dulzura? ¡Hmmm! Es porque somos culpables que pensamos mal. La culpa genera violencia. ¿Y al revés? Sólo queremos formar parte de este grupo de humanos que viven en la tierra. O no. Tópico no verificado: las mujeres son hermosas. ¡Ah ah! Bueno, siéntate en la calle durante cinco minutos y dime si ves a Grace Kelly o a Greta Garbo. Eso sí que es misoginia de la buena, decir como un imbécil convenido que las mujeres son hermosas. Pero cuidado, las chicas no deben tomarle tanto gusto y mantener ese halago de ser reputadas como guapas, porque en el fondo te hace sentir bien. 2th Una gilipollez: la belleza está en otra parte (eso es lo que decimos cuando no la encontramos en ningún sitio) y hasta los ancianos son bellos. Así que adelante, que se joda tu abuela. Lo primero que quieres es asombrarte y luego interesarte por los detalles. El matiz nunca es evidente de inmediato. La grosería y la idolatría van de la mano. Esa es su visión del arte, de la vida y de lo fuerte y bello. El choque, bien entendido de inmediato, como si comieras sushi y luego siguieras adelante. Otro choque, la comunicación futura de su disfraz de vida. ¡Vaya, que se siente! ¡Qué talento tienes! Pero en la vida, en realidad, no. Bueno, no tanto en la vida real. Los accidentes de coche, las rupturas violentas, las explosiones en el metro, los puñetazos en la cara, no nos gustan tanto de entrada. Quieres ser capaz de rebelarte y gritar "¡estoy tocado! Mírame, estoy aquí, estoy reaccionando, todavía estoy vivo. Todavía estoy vivo". ¡Vamos! Salta de tu tumba, viejo roué, vieja arpía, y ven a contarnos una de tus historias, para morir de aburrimiento. ¡Levántate! Lo siento, mi papel no es el de besar el culo al dolor. ¿Qué diablos es un artista? No está aquí para hacer su papel pintado, ni para decorar el salón con sus simpáticos pensamientos. Otoño rígido. ¡Sí, higos! ¡Sí, higos! El árbol frutal conectado muere por dar demasiado.

Llamamiento urgente: Sabemos de buena tinta que todavía hay muchos escritores y directores haciendo teatro, dispersos en diversos lugares estratégicos donde han sido colocados, como algunos veteranos japoneses que no se enteraron del final de la guerra y que siguen al acecho treinta años después en islas de Filipinas. Por favor, ayúdanos a encontrarlos por su bien y sobre todo por el nuestro. Apaguen sus teléfonos de mierda y, sobre todo, disfruten del espectáculo.

El diablo no está en los detalles. ¡Ding dong! ¡Qué campana está sonando la guerra! El arte ya no responde. Dime, vieja, ¿qué lugar te queda en la naturaleza? La edad, los antecedentes y la pretensión... imagínate. Leer o ver, oír a los poetas, a los artistas, me angustia más que nada, como prueba demasiado evidente de su impotencia. Vamos, lucha con tus bracitos; probablemente no me lo cuentes. Emoción, deleite en el choque; a veces todo termina en entretenimiento. Sí, la vida siempre será más interesante, se sabe. Inversión de las proporciones; gran proporción de inversiones. El contenido de los valores sustituye al valor de los contenidos. Adelante. Así es. Ah, sí, ciudadano avanzado, cuéntame otra vez lo de que ni siquiera tienes miedo, tu gran masa antidolor, la negación grotesca de las amenazas de guerra y de todas las amenazas para el caso. Desafortunado insubordinado que sólo sabe someterse. Fantasma, histriónico. ¿Cuándo vas a matar tu primer partido? ¿Cuándo nos traerás tu primer trofeo, como el individuo primitivo que deberías ser? Tal vez sea el jefe de un candidato presidencial o el director de una agencia, ¿una agencia de qué? No lo sabemos, ahora que florecen las agencias para todo y especialmente para cualquier cosa. Agencia de viajes, agencia de empleo, agencia inmóvil ayer y lo mismo hoy, agencia C. Bastien vuelve a los contenedores... pronto... ¡vuelve a sus pantallas! Un artista no hace un pacto con la sociedad. Lo puentea, lo perfora y lo mata; lo hace incruento. Si no, ¿para qué se toman y se dan tantas molestias, para vencer otros caminos? Todavía tiene que vencerlos, derribarlos. Un artista debe disparar a quemarropa. Sin avisar, sin disculparse, sin el deseo secreto de ser perdonado. Todo lo demás es complacencia. Pero tiene que hacerlo en silencio. Asegurándose, como hace cierta avispa con la araña, de picar y poner huevos en el punto de fragilidad donde la piel social es más tierna, más dispuesta que en cualquier otro lugar a romperse. ¡Oh, sí! Así equipado, un primate un poco diestro, un simio juguetón, un mono simplemente aprendido, llamémosle así, en lugar de artista, palabra atroz que debemos desterrar, demasiado cargada de la pesadez de los otros, de los que lo ignoran todo, que querrían definir y nombrar lo indecible; pues bien, este mono puede curiosamente avanzar donde los otros se estancan. Y sin embargo, los otros no podrían ser otros si quisieran, si tuvieran la más mínima audacia para hacerlo. Y entonces, sería cierto quizás decir entonces que todo podría ser; que todo sería, este simple y complejo artista que duerme. Porque ¿quién es mejor, eh, que este ser? Sin embargo, algunos no lo son, nunca lo serán, porque han elegido no escuchar la vida que los anima. Pero no los culpo, desafortunadas marionetas de madera. No, él, el chico, la chica que tintinea, son verdaderos vagabundos, mercenarios de la risa, je ne sais quoi de todo eso, que deben intentar engañar no a "su mundo", que nunca será el suyo, sino al otro; al que se llama a sí mismo "mundo". Un fino usurpador ese, una máquina creciente que dicta a cada uno su conducta y esto, por el bien de un gran conjunto hipotético, al que nunca pertenecerás, tú que te sueñas un poco menos cobarde y siniestro que los demás. ¡Consigue algo de altura por el amor de Dios, mierda humana! Deja de juguetear con tu vida como si fuera el motor de un coche viejo que lucha por arrancar. Entonces, tu ni siquiera tienes miedo, sobre todo ni siquiera es cierto, amigo infantil vejado por ser empujado por la política como la cantidad insignificante que eres. Defensores de las plazas cercanas, banalidades a raudales; la vida más fuerte que la muerte... pero sí, pero sí. Dígalo otra vez. Grítalo más fuerte. Sociedad de cons-sumo; ¿por qué querríamos pertenecer a ella? ¿Servirlo con golosinas? Pero todo el mundo tiene odio en sus huesos, ¡vamos! No, la vida no es la más fuerte. Es sólo la suma de lo que somos capaces de hacer, la vida, ni más ni menos. Incluso está lejos de ser la más fuerte, la vida, un día repentinamente limitada por su final anunciado. La amenaza de la muerte se cierne; no desde el nacimiento, sino desde la conciencia, a la manera exacta de la que se cierne en nuestras mentes a través de terroristas de todo tipo que se divierten asustando a todos, y sobre todo a ellos mismos. Mejor anticiparse a la muerte que esperarla, ¿no? Es mucho más heroico. Así programado, algunas personas, más impresionables que otras, lo encuentran menos aterrador. La muerte natural es terrorismo en sí misma y su traducción concreta, un ataque a la despreocupación de nuestras vidas. En cualquier caso, un ataque al peor, querido colador. Es a través de tus mallas demasiado flojas que el sistema te aplasta. Y el sistema eres tú, soy yo. Es como una canción de amor. Y como el ciudadano eunuco, abrumado por su impotencia, el artista lamentable ni siquiera tiene miedo. Ni siquiera tiene miedo de permanecer en el anonimato. Ni siquiera tiene miedo de vivir como un vagabundo arrastrándose por las paredes de las instituciones. Ni siquiera tiene miedo de jugar al sabio virtuoso que pretende haber hecho las rondas de las cosas humanas. Sí, sigo lamentando la ineficacia del ridículo para matar al tonto imprudente e ingenuo. Pero ahora ya puedo escuchar el egoísmo gritándome "pero es que es así bla bla bla... conmovedor bla bla... hermoso bla bla... sensible... frágil... bla bla". Pero sí, pero sí. Inténtalo de nuevo comentarista de Facebite. Cuanto más te esfuerzas, más acentúas la miseria y el fango de tus pobres fuerzas queridas. Después de todo, ¿qué nos importa? ¿Y por qué molestarse? Pensad y decid lo que queráis, pero sobre todo no me distraigáis; no quiero que me distraigan; quiero ver lo que es, lo que pasa y lo que se hace, aquí, en todas partes, en otros lugares. Qué grande es todo el mundo en su búsqueda del buen humor. ¡Vivan los veliBs y las comidas de barrio! Pero el rey está desnudo, ¿no? Afortunadamente para él, el rey ya era un mendigo. Solidaridad en principio. Lo siento, esta vez soy yo quien no te sigue. Estoy cansado de ahorrarte mi rosquilla. Mi civilización es mejor que tu cultura. Total disociación global de mi cuerpo y su ética. No hay nada que hacer. Con usted. Nada que decir salvo lo que nunca será para ti sino mi incoherencia y, siempre a mis ojos, una poesía intacta que reacciona a tu mundo. Así que te ruego, sobre todo, que no me entiendas. Si supieras cuánto me aburre escribirte, pero esta es la única manera; no puedo hacer otra cosa para someterme a ti. Y ese es mi único deseo. En general, tres estrellas y todavía no me nombran. Negro. Tarjeta negra. "Si un tirano no ha matado a varios millones de personas a los cincuenta años, ha fracasado en la vida", dicen estos tipos. Adolphe i lo tolera. ¿Pero hasta Caen?

Evolución de una célula que degenera en paz en forma de glóbulo | Técnica mixta, papel y digital © David Noir
Evolución de una célula que degenera en paz en forma de glóbulo | Técnica mixta, papel y digital © David Noir

Degenerar en paz (bis)

¡El show de David Noir Poupées Branl'!

David Noir

David Noir, intérprete, actor, autor, director, cantante, artista visual, realizador de vídeo, diseñador de sonido, profesor... lleva su desnudez polimorfa y su infancia disfrazada bajo los ojos y oídos de cualquiera que quiera ver y oír.

Deja una respuesta

Este sitio usa Akismet para reducir el spam. Aprende cómo se procesan los datos de tus comentarios.