
La Toison dort | épisode 1 | Famine Pâtes Riz
Les artistes composent réellement une race de misère que j’exècre. Pire encore, l’amateur d’art: le con fini à l’état pur...
artiste
Les artistes composent réellement une race de misère que j’exècre. Pire encore, l’amateur d’art: le con fini à l’état pur...
J’insiste ici sur la valeur que j’accorde à l’arbitraire comme planche de salut des situations créatives pauvrement fructueuses qu'offre l’apparente logique
Les artistes, les vrais qui auraient quelque chose à dire, haïssent le monde et ne lui diront rien, n’est-ce pas ? Et c’est bien mieux ainsi, n’est-ce pas ?
Quand on est choqué par quoi que ce soit qui existe, c'est qu'on s'est fait sa petite idée du monde mais qu'on n'y connait rien au monde.
Combien durera-t-elle, l'indignation dans son expression flamboyante, quand on recommencera à obéir et à nier son identité dès le lendemain ?
Je suis un programme. Je suis une programmation. Ça + ça + ça + ça. Je ne le décide pas. Je n'en suis pas le maître, juste le conseiller d'orientation...
Écrire soulage la tension du trop plein de pensée, endigue l'hémorragie, cautérise le sens, referme provisoirement la plaie toujours humide.
Les artistes crèvent comme tant d'autres espèces animales en voie de disparition. On restreint leurs territoires, on fait discrètement taire leur voix.
Parfois c'est pénible... forcément pénible, les icônes référentielles. Et quelques fois malgré elles. Tous les dogmes puent ; pas toutes les personnes.
La civilisation de l’individu est un acte personnel qui l’amène à se poser la question de sa propre situation entre sauvagerie et « produit » de culture.