Scène et Arts de vivre
Mon art de vivre est nourri de la joyeuse obscénité de l'enfance ; déguisements, maquillages, organes génitaux manipulés comme des jouets et sexualités...
énergie
Mon art de vivre est nourri de la joyeuse obscénité de l'enfance ; déguisements, maquillages, organes génitaux manipulés comme des jouets et sexualités...
Moi, je passe mes nuits à l’abri. De tout. A l’abri de toi, malgré ta voix suavement moelleusement gravement radiophonique, hygiénique et concernée.
Décrier l'exhibition sexuelle c'est nier la réalité du coït, la plus banale de nos réalités, au profit d'une illusion de soi, mère de toutes les violences.
Violence et rudesse sont dans l'air. "Fond d'âme mental", texte poétique écrit le 1er novembre 2015, avant que la terreur advienne.
Écrire soulage la tension du trop plein de pensée, endigue l'hémorragie, cautérise le sens, referme provisoirement la plaie toujours humide.
Il appartient à certains libertins de vouloir échapper à une "mièvrerie du sexe libre" dont ils prétendent pourtant a priori être exempts.
Au théâtre de l’avil… issement, on se donne du mal pour enchaîner de belles images "en hommage à..." Au Générateur, on met ses forces dans l'art de créer.
Je suis une plante, un animal, un astéroïde ou une banquette de salon… Je suis tout ce que mon imagination peut faire de moi.
Il y a l’œuvre qu’on ne fait pas, qui fait faire d’autres œuvres… qui les nourrit sans cesse… la grande masse qui est énorme… c’est beau… bonne nuit
Première nuit blanche. J’ai pris l’habitude de considérer mes nuits comme la succession de quelques heures et non comme un pan entier qui s’oppose au jour.