Libre pensée
Savoir s’amuser et rire de tout restera éternellement l’apanage de l’individu libre. S’occuper de ses fesses est un travail d’utilité publique.
grandir
Savoir s’amuser et rire de tout restera éternellement l’apanage de l’individu libre. S’occuper de ses fesses est un travail d’utilité publique.
J'ai dis ce que j'avais à dire. J'ai fait ce que j'avais à faire. Je ne dois rien à personne. Le goût juste me casse les couilles.
Il ne s’agit pas de faire l’amour mais de la sexualité. Ah tes valeurs, tes valeurs, si tu pouvaient te les mettre où je pense une bonne fois !
Ma grande faculté d'adaptation m'est une violence absolue. Je hais toute relation qui m'y contraint. Rare est celle qui se déroule comme je le souhaite.
Se RACONTER des HISTOIRES, c'est MORT ! Au lieu d'aspirer à grandir, cessons de nous prendre pour ce que nous ne pouvons être. Stop à l'idéalisation.
Combien durera-t-elle, l'indignation dans son expression flamboyante, quand on recommencera à obéir et à nier son identité dès le lendemain ?
La solidarité n'est pas l'affichage de la pensée unique. On ne me fera crier aucun slogan qui ne soit pas de moi. Pas Charlie ce soir, ni un autre jour.
Il appartient à certains libertins de vouloir échapper à une "mièvrerie du sexe libre" dont ils prétendent pourtant a priori être exempts.
La civilisation de l’individu est un acte personnel qui l’amène à se poser la question de sa propre situation entre sauvagerie et « produit » de culture.
L’amour est semblable à un minerai enrichi. À l’état pur, il détruit l’être profond. Le tenir à distance n’est pas de l’égoïsme, bien au contraire.