Libre pensée
Savoir s’amuser et rire de tout restera éternellement l’apanage de l’individu libre. S’occuper de ses fesses est un travail d’utilité publique.
paradoxe
Savoir s’amuser et rire de tout restera éternellement l’apanage de l’individu libre. S’occuper de ses fesses est un travail d’utilité publique.
J’insiste ici sur la valeur que j’accorde à l’arbitraire comme planche de salut des situations créatives pauvrement fructueuses qu'offre l’apparente logique
Se taire serait une façon décente d'étouffer la pensée qui sera toujours la pénible expression d'un ordre donné à soi-même par sa propre bourgeoisie mentale.
Le travail ce n’est pas intéressant. C’est être inspiré qui l’est. Être inspiré c’est être appelé vers autre chose de plus stimulant que ce qui était prévu.
Les artistes, les vrais qui auraient quelque chose à dire, haïssent le monde et ne lui diront rien, n’est-ce pas ? Et c’est bien mieux ainsi, n’est-ce pas ?
Se RACONTER des HISTOIRES, c'est MORT ! Au lieu d'aspirer à grandir, cessons de nous prendre pour ce que nous ne pouvons être. Stop à l'idéalisation.
Il appartient à certains libertins de vouloir échapper à une "mièvrerie du sexe libre" dont ils prétendent pourtant a priori être exempts.
Parfois c'est pénible... forcément pénible, les icônes référentielles. Et quelques fois malgré elles. Tous les dogmes puent ; pas toutes les personnes.
A l'occasion de la création des Parques d'attraction, Any Tingay, Anne Dreyfus et moi, sommes invité.es à séjourner une nuit complète à l'Hôtel Paradoxe
Entre négation et récompenses, le petit fascisme ordinaire de l’éducation parentale se lisait dans les expressions du visage de mon père.