Journal des Parques J-19
J’écris avec ma bite et signe d’une entourloupe gustative. Idole de cacao, mon phallus devient comestible pour qui peut en sucer le sens.
sexe
J’écris avec ma bite et signe d’une entourloupe gustative. Idole de cacao, mon phallus devient comestible pour qui peut en sucer le sens.
Arrogance magnifique d'un héros ordinaire: Vivre pour bander et jouir à la face du monde ! « Sucez, ceci est ma queue ! Buvez, ceci est mon sperme ! »
Le corps est une scène, un plateau, un espace de jeu et chaque nouveau sexe, le jouet dernier cri propre à déchaîner les passions.
« Je ne veux pas être réduite à ça » dira-t-elle. « Ça ne montre qu’un aspect de moi » opposera-t-il. « Prétention à être autre chose qu'un cul » dirais-je.
Est-il donc inconcevable de désirer revendiquer simplement la beauté aimable de ses propres bourses, de ces simples couilles que je chéris, mes testicules ?
Un petit slogan promotionnel en faveur de la pornographie dont chacun et chacune est porteur.euse et qu'il me parait tout simplement bon de mettre en avant.
L'exhibition heureuse du pénis, flaccide ou rigide, comme condition de l'expression libre d'une masculinité simple et épanouie.
Ça parle du masculin. La tendresse de l’homme pour ce compagnon de toujours qu’est son pénis est une donnée fondamentale pour sa construction psychique.
Oui, depuis l’enfance, le viol c’est la vie, mais la vie, c’est aussi ce que nous voulons en faire afin que nos parents symboliques deviennent des fantômes.
Arnaque ; mensonge brûlant ! La vigueur du corps domine toute la sagesse des vieux. L'humain n'est vrai qu'à travers le bluff de ses personnages.