Le petit business de la bienveillance
La peur fait désormais plus peur que la peur. Elle se dissout en surface et renaît en un petit pet de bienveillance commune...
Crudités
J’ai plaisir à vomir la « Merde de la pensée », ce qui devrait en être expulsé comme autant d’excréments. En bref, tout ce qui nuit et n’appartient pas à la construction de son identité propre ; tout ce qui la trahit ou la maintient sous le boisseau : principes d’éducation stupide, respect a priori et par mimétisme d’idéologies étrangère à soi, sentiment d’obligation rampant à se faire accepter d’une communauté…
La peur fait désormais plus peur que la peur. Elle se dissout en surface et renaît en un petit pet de bienveillance commune...
Au-delà des morts atroces et inutiles, la plus grande victime des ravages de l’époque actuelle est le sens de l’humour.
Un nouveau blog libre et brut, comme un nécessaire refuge de l’écrit. Un peu secret mais pas bégueule et spontanément lisible pour qui souhaiterait y venir.
Derrière les ordinateurs, les paroles se donnent des allures d’absolu. Quel bel anonymat de ne pas faire face à soi-même !
J’avais une chatte, une chienne, une femme, un mari, une araignée eh oui / Je vivais dans les poils / Mes éjaculations étaient irrévocables.
Je suis revenu du pays des gens / Centaure de la révolution / J’en ai fait le tour complet à mon propre dos de cheval / Parfois on y est bien
Beau comme une chatte qui serait belle comme un steak ! Appétit et voracité pour les représentations du sexe mis à toutes les sauces.
Se taire serait une façon décente d'étouffer la pensée qui sera toujours la pénible expression d'un ordre donné à soi-même par sa prope bourgeoisie mentale.
Comme dit Victor de l'araignée et de l'ortie - non pas le docteur Frankenstein, mais son ami le vieil Hugo - moi j'aime la haine parce qu'on la hait.
Ma grande faculté d'adaptation m'est une violence absolue. Je hais toute relation qui m'y contraint. Rare est celle qui se déroule comme je le souhaite.