Question à l’aurore de l’enfance primitive. Quelques mots pour m’octroyer une aire de liberté comme un chantier en lisière de forêt.

Quelqu’un dedans ; je fais mon possible pour qu’il y ait quelqu’un dedans ; quelque chose dans le citron ; pas qu’une simple apparence. Quand on frappe chez quelqu’un, on souhaiterait qu’il y ait toujours une personne derrière la porte. Pas simplement le chien qui aboie en guise de réponse. Bien sûr, il faut rester libre de se cacher si on n’a pas envie de répondre. C’est ce qui est plaisant lorsque l’on a fait un peu de parcours dans soi. On peut se dissimuler dans des recoins insoupçonnés des autres, parmi les ruines de ce que l’on connaît si bien puisqu’on l’aura soi-même détruit.

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