La petite raison dans ma prairie
Les textes sont les brins d'herbe et les graminées de ma prairie mentale. Ils croissent anarchiquement et s'entrelacent en un tissage serré.
autonomie
Les textes sont les brins d'herbe et les graminées de ma prairie mentale. Ils croissent anarchiquement et s'entrelacent en un tissage serré.
Un nouveau blog libre et brut, comme un nécessaire refuge de l’écrit. Un peu secret mais pas bégueule et spontanément lisible pour qui souhaiterait y venir.
Savoir s’amuser et rire de tout restera éternellement l’apanage de l’individu libre. S’occuper de ses fesses est un travail d’utilité publique.
Derrière les ordinateurs, les paroles se donnent des allures d’absolu. Quel bel anonymat de ne pas faire face à soi-même !
Ma grande faculté d'adaptation m'est une violence absolue. Je hais toute relation qui m'y contraint. Rare est celle qui se déroule comme je le souhaite.
L’individu vrai se risquant hors de sa chambre d’isolement, s’évanouit au contact de l’air. Il refuse de s’incarner lisiblement dans ses propos et ses actes
Se RACONTER des HISTOIRES, c'est MORT ! Au lieu d'aspirer à grandir, cessons de nous prendre pour ce que nous ne pouvons être. Stop à l'idéalisation.
Les artistes crèvent comme tant d'autres espèces animales en voie de disparition. On restreint leurs territoires, on fait discrètement taire leur voix.
Je pense ce matin à André Lazare, à sa femme à la beauté racée, Patricia, à certains membres de la petite équipe qu'il avait regroupée autour de lui.
...volontairement seul et totalement nu, livré à soi-même, à quelques kilomètres d’une ville que l’on s’apprête, non à fuir, mais à investir...