Journal des Parques J-3, -2, -1, 0…
Il y a l’œuvre qu’on ne fait pas, qui fait faire d’autres œuvres… qui les nourrit sans cesse… la grande masse qui est énorme… c’est beau… bonne nuit
expédition
Il y a l’œuvre qu’on ne fait pas, qui fait faire d’autres œuvres… qui les nourrit sans cesse… la grande masse qui est énorme… c’est beau… bonne nuit
Par son grand espace résolument vide, le Générateur se moque bien des démangeaisons que lui provoque la vermine qui quelquefois l’infeste.
Première nuit blanche. J’ai pris l’habitude de considérer mes nuits comme la succession de quelques heures et non comme un pan entier qui s’oppose au jour.
A l'occasion de la création des Parques d'attraction, Any Tingay, Anne Dreyfus et moi, sommes invité.es à séjourner une nuit complète à l'Hôtel Paradoxe
...volontairement seul et totalement nu, livré à soi-même, à quelques kilomètres d’une ville que l’on s’apprête, non à fuir, mais à investir...
Que l’on me force à transiger et je largue les amarres pour d’autres cieux, triste, mais en cohérence avec mon désir d'autonomie
Théâtre, créature errante, éternellement mourante, à la dérive, flottant dans sa mer d'excréments comme une baleine cacochyme
Aujourd’hui, j’ai gardé en moi cette courte heure de pornographie ordinaire comme un de mes plus beaux moments de spectateur de cinéma.
L’apparence existe, je l’ai rencontrée. À toute heure, en tous lieux, à toutes époques de ma vie. Ami.es, amant.es, partenaires, connaissances, famille...
Rendre son existence plus « importante » à ses propres yeux par quelques millilitres à peine d'une solution outrancièrement dissoute de connaissance de soi.