
La Toison dort | épisode 7 | Dernières irrévocables
J’avais une chatte, une chienne, une femme, un mari, une araignée eh oui / Je vivais dans les poils / Mes éjaculations étaient irrévocables.
posture animale
J’avais une chatte, une chienne, une femme, un mari, une araignée eh oui / Je vivais dans les poils / Mes éjaculations étaient irrévocables.
Je suis revenu du pays des gens / Centaure de la révolution / J’en ai fait le tour complet à mon propre dos de cheval / Parfois on y est bien
C’est trop grand / C’est trop énorme / C’est trop partout / C’est trop tout le temps / Allez vous faire EMETH et vous toucher du doigt
Du sport, rien que du sport sans état d’âme et pas de sexe avec les femmes à cette période car l’amitié virile, aussi se désagrège...
Les artistes composent réellement une race de misère que j’exècre. Pire encore, l’amateur d’art: le con fini à l’état pur...
Beau comme une chatte qui serait belle comme un steak ! Appétit et voracité pour les représentations du sexe mis à toutes les sauces.
Le rêve rock’n roll d’être formidables, consommables, jetables. Les Parques d’attraction répondent à la nécessité de bien centrifuger nos bribes d’identités.
Déguise-toi, choisis ta mythologie, vis et meurs à l’envi. Reste à savoir de quelle “société du spectacle” tu choisis de faire la promotion.
Une possible réincarnation de notre enfance sauvage et ingérable est systématiquement reléguée comme un résidu toxique au fond de nos corps entravés.
Promotion thanatoludique : 1000 vies pour 1 mort. Quels enjeux ? Enfant, nous les avons éprouvés maintes fois par identification à travers nos déguisements.