Détails de mon sexe | En branle toute !
Ma queue branlée. Apparence douce ou charnellement agressive, heurtante, l’envie de sucer ondoie, ondule. « Dis, dessine-moi un pénis ! »
seul
Ma queue branlée. Apparence douce ou charnellement agressive, heurtante, l’envie de sucer ondoie, ondule. « Dis, dessine-moi un pénis ! »
Oh mon sexe, bout de viande cuivré ! Eh toi ! Touche-toi la. Le corps est ainsi fait. Le nier est pure bêtise. Queue ça te plaise ou non.
J'ai vu la verge, petite sœur de branle et de la hauteur de sa hampe dressée, elle m'a dit : " Mangez, ceci est mon sexe ! Buvez, ceci est mon sperme "
Ma bite est mon amie. Elle est mon apanage de garçon. J’aime primitivement être ce que je suis. J’aime mon sexe érigé autant que flaccide.
Même et surtout quand il est touché par l’amour, le couple est une affaire de non-désir. Cet amour-là en devient une chose repoussante.
Décrier l'exhibition sexuelle c'est nier la réalité du coït, la plus banale de nos réalités, au profit d'une illusion de soi, mère de toutes les violences.
Ma grande faculté d'adaptation m'est une violence absolue. Je hais toute relation qui m'y contraint. Rare est celle qui se déroule comme je le souhaite.
Le travail ce n’est pas intéressant. C’est être inspiré qui l’est. Être inspiré c’est être appelé vers autre chose de plus stimulant que ce qui était prévu.
Le requin est borgne, le surfeur s’est bien défendu. Ah mon dieu qu’ c’est embêtant d’avoir un enfant qui n’a qu’un œil. Aveugle et sourd.
Les artistes, les vrais qui auraient quelque chose à dire, haïssent le monde et ne lui diront rien, n’est-ce pas ? Et c’est bien mieux ainsi, n’est-ce pas ?