Joues-tu-nu ?
Un nouveau blog libre et brut, comme un nécessaire refuge de l’écrit. Un peu secret mais pas bégueule et spontanément lisible pour qui souhaiterait y venir.
précarité
Un nouveau blog libre et brut, comme un nécessaire refuge de l’écrit. Un peu secret mais pas bégueule et spontanément lisible pour qui souhaiterait y venir.
Pardon je passe ! Vous n'avez pas le droit de m'empêcher de passer ! Je n'ai rien à me reprocher. J'ai toujours été en règle avec l'administration. Pardon !
Ma grande faculté d'adaptation m'est une violence absolue. Je hais toute relation qui m'y contraint. Rare est celle qui se déroule comme je le souhaite.
Le travail ce n’est pas intéressant. C’est être inspiré qui l’est. Être inspiré c’est être appelé vers autre chose de plus stimulant que ce qui était prévu.
Les artistes, les vrais qui auraient quelque chose à dire, haïssent le monde et ne lui diront rien, n’est-ce pas ? Et c’est bien mieux ainsi, n’est-ce pas ?
Les artistes crèvent comme tant d'autres espèces animales en voie de disparition. On restreint leurs territoires, on fait discrètement taire leur voix.
Je pense ce matin à André Lazare, à sa femme à la beauté racée, Patricia, à certains membres de la petite équipe qu'il avait regroupée autour de lui.
L’amour est semblable à un minerai enrichi. À l’état pur, il détruit l’être profond. Le tenir à distance n’est pas de l’égoïsme, bien au contraire.
Première nuit blanche. J’ai pris l’habitude de considérer mes nuits comme la succession de quelques heures et non comme un pan entier qui s’oppose au jour.
Entre négation et récompenses, le petit fascisme ordinaire de l’éducation parentale se lisait dans les expressions du visage de mon père.