Libre pensée
Savoir s’amuser et rire de tout restera éternellement l’apanage de l’individu libre. S’occuper de ses fesses est un travail d’utilité publique.
tabou
Savoir s’amuser et rire de tout restera éternellement l’apanage de l’individu libre. S’occuper de ses fesses est un travail d’utilité publique.
Ma queue branlée. Apparence douce ou charnellement agressive, heurtante, l’envie de sucer ondoie, ondule. « Dis, dessine-moi un pénis ! »
Oh mon sexe, bout de viande cuivré ! Eh toi ! Touche-toi la. Le corps est ainsi fait. Le nier est pure bêtise. Queue ça te plaise ou non.
J'ai vu la verge, petite sœur de branle et de la hauteur de sa hampe dressée, elle m'a dit : " Mangez, ceci est mon sexe ! Buvez, ceci est mon sperme "
Mon art de vivre est nourri de la joyeuse obscénité de l'enfance ; déguisements, maquillages, organes génitaux manipulés comme des jouets et sexualités...
Ma bite est mon amie. Elle est mon apanage de garçon. J’aime primitivement être ce que je suis. J’aime mon sexe érigé autant que flaccide.
Derrière les ordinateurs, les paroles se donnent des allures d’absolu. Quel bel anonymat de ne pas faire face à soi-même !
Une ode à l’exhibition sous la forme d’un parcours initiatique. L’univers fantasmatique d’un homme soumis à son sexe et son voyage vers son désir de nudité.
J’avais une chatte, une chienne, une femme, un mari, une araignée eh oui / Je vivais dans les poils / Mes éjaculations étaient irrévocables.
Je suis revenu du pays des gens / Centaure de la révolution / J’en ai fait le tour complet à mon propre dos de cheval / Parfois on y est bien