Libre pensée
Savoir s’amuser et rire de tout restera éternellement l’apanage de l’individu libre. S’occuper de ses fesses est un travail d’utilité publique.
tabou
Savoir s’amuser et rire de tout restera éternellement l’apanage de l’individu libre. S’occuper de ses fesses est un travail d’utilité publique.
Derrière les ordinateurs, les paroles se donnent des allures d’absolu. Quel bel anonymat de ne pas faire face à soi-même !
J’avais une chatte, une chienne, une femme, un mari, une araignée eh oui / Je vivais dans les poils / Mes éjaculations étaient irrévocables.
Je suis revenu du pays des gens / Centaure de la révolution / J’en ai fait le tour complet à mon propre dos de cheval / Parfois on y est bien
Le courage est un tabou dont chacun et chacune s’arrange à sa sauce pour se persuader qu’il ou elle n’en est pas complétement dénué.e.
"Je vous en prie trouvez ma femme, mais n'appelez pas mes parents ..." Rouler à contresens en quête de collisions de véhicules, de tôles froissée et recouvrer la mémoire de ses atomes.
Décrier l'exhibition sexuelle c'est nier la réalité du coït, la plus banale de nos réalités, au profit d'une illusion de soi, mère de toutes les violences.
Comme dit Victor de l'araignée et de l'ortie - non pas le docteur Frankenstein, mais son ami le vieil Hugo - moi j'aime la haine parce qu'on la hait.
Les sexes, chattes et queues, sont toujours pétris de l’innocence de leur faible culture | Il est beau que cela soit ainsi
Derrière les prétextes, homophobie, violence faite aux femmes ou tout autre racisme primaire, se cache la haine de l’enfance persistante