Journal des Parques J-33
J’aurais échangé tout mon être, ma peau mate et mes cheveux brun contre un gramme du charme ensorceleur et diabolique du petit Martin Stephens
Le journal des Parques
J’aurais échangé tout mon être, ma peau mate et mes cheveux brun contre un gramme du charme ensorceleur et diabolique du petit Martin Stephens
J’ai interprété l’idée de concevoir un blason comme celle d'orner un bouclier. Son centre symbolise mon projet. C'est la partie qui m’a le plus intéressé.
Textes, esthétique, pensées sur les murs, blagues à deux balles, panel de chansons, scènes, comportements ... le départ est donné
« Je ne veux pas être réduite à ça » dira-t-elle. « Ça ne montre qu’un aspect de moi » opposera-t-il. « Prétention à être autre chose qu'un cul » dirais-je.
Notre sérieux, nos affres, nos plaisirs et nos malheurs risibles seront bientôt là, servis sur un plateau ! La billetterie est ouverte...
Attentat au pire si tu ne reviens pas vers toi. Moi, je crée des projets à seule fin de me désengager de l’aliénation ordinaire à ma propre bêtise. Et toi ?
A: Adieu | Un extrait des Puritains résumera ce que je voudrais dire aujourd'hui avec d'autres mots à mon équipe, si j'en trouvais l'énergie.
Une poignée d'amour pour une poignée d'euros | J’aime concevoir les rapports, sous l’éclairage d’une prostitution consentie, équitable et partagée
Est-il donc inconcevable de désirer revendiquer simplement la beauté aimable de ses propres bourses, de ces simples couilles que je chéris, mes testicules ?
Pour moi, la plus belle des collaborations se fait sans mot dire, juste à travers l’exécution. Exécution, mot magique quand il n’est pas redoutable...