Appliquée à l’art la censure prend bien des visages. Côté institutions, l’indifférence suffit à nier l’existence d’un propos. Mais quand elle s’exprime dans le privé, le corps s’implique ; la brutalité physique se doit d’entrer en jeu pour pallier un plus maigre pouvoir.

Fin du contenu

Aucune page supplémentaire à charger