Journal des Parques J-14
Homme femme, enfant bestial, femme enfant… la palette des identités se fait jour à travers l'animalité et les mythologies de notre espèce.
civilisation
Homme femme, enfant bestial, femme enfant… la palette des identités se fait jour à travers l'animalité et les mythologies de notre espèce.
Je tenterai toujours d’accueillir légitimement le désarroi des filles qui mettraient leur index en contact avec le mien pour faire de la lumière.
« Je ne veux pas être réduite à ça » dira-t-elle. « Ça ne montre qu’un aspect de moi » opposera-t-il. « Prétention à être autre chose qu'un cul » dirais-je.
Euphorie vaniteuse, insouciance débile ou volonté de nuire aboutissent au même résultat: la mise en péril d’une tension fragile comme le fil ténu de la vie.
Un petit slogan promotionnel en faveur de la pornographie dont chacun et chacune est porteur.euse et qu'il me parait tout simplement bon de mettre en avant.
Oui, depuis l’enfance, le viol c’est la vie, mais la vie, c’est aussi ce que nous voulons en faire afin que nos parents symboliques deviennent des fantômes.
Un état de civilisation avancé ne serait-il pas celui qui, sans honte, reconnaitrait ce qui nous constitue ? Notre image première, celle de nos corps nus.
Arnaque ; mensonge brûlant ! La vigueur du corps domine toute la sagesse des vieux. L'humain n'est vrai qu'à travers le bluff de ses personnages.
L’outrage au drapeau est désormais passible d’une amende de 1.500 euros suite à un décret du ministère de la Justice paru en juillet 2010 au JO.
«Tu comprends, la nudité érotique, c’est tellement plus fort que la brutalité pornographique…» ; « Oui, oui… et mon cul ? » répondrais-je sobrement.