Que règne l’arbitraire !
J’insiste ici sur la valeur que j’accorde à l’arbitraire comme planche de salut des situations créatives pauvrement fructueuses qu'offre l’apparente logique
corps défendant
J’insiste ici sur la valeur que j’accorde à l’arbitraire comme planche de salut des situations créatives pauvrement fructueuses qu'offre l’apparente logique
L'éloignement de la peur de ce que l'on est constitue une forme de raffinement de l'être. Adopter sa part animale, c'est devenir humain.
Quelques instants de vie dans la peau d'une tortue marine ou Peut-on philosopher un jour de ponte et que le temps nous est compté ?
Comme dit Victor de l'araignée et de l'ortie - non pas le docteur Frankenstein, mais son ami le vieil Hugo - moi j'aime la haine parce qu'on la hait.
Ma grande faculté d'adaptation m'est une violence absolue. Je hais toute relation qui m'y contraint. Rare est celle qui se déroule comme je le souhaite.
Le travail ce n’est pas intéressant. C’est être inspiré qui l’est. Être inspiré c’est être appelé vers autre chose de plus stimulant que ce qui était prévu.
Les artistes, les vrais qui auraient quelque chose à dire, haïssent le monde et ne lui diront rien, n’est-ce pas ? Et c’est bien mieux ainsi, n’est-ce pas ?
L’individu vrai se risquant hors de sa chambre d’isolement, s’évanouit au contact de l’air. Il refuse de s’incarner lisiblement dans ses propos et ses actes
Le temps fait voile à rebours, jette un tulle de théâtre sur la vision détaillée des crimes anciens. La beauté tragique de l’Histoire est plus conviviale que l’horreur imminente.
Je ne vais pas vous parler de ce que ça raconte, parce que j'espère bien que ça ne racontera rien, rien de ce qui se raconte en tous cas. Pas d'histoires.