Par où commencer ?
Une page d'accueil qui n'a aucun sens de l'accueil. Ça vaut peut-être le coup d'essayer après tout, pourquoi pas, si on allait voir.
enfance obscène
L’enfance obscène n’est pas un oxymore. C’est l’expression même de toute la puissance de la vigueur de l’insolente impudeur.
Une page d'accueil qui n'a aucun sens de l'accueil. Ça vaut peut-être le coup d'essayer après tout, pourquoi pas, si on allait voir.
Le théâtre nu d'un acteur performeur fantaisiste et pornographique. Un art sexuel comme une enfance obscène porté par l'instinct cru d'un animal de scène.
Une conscience et un corps : nudité et performance sous le soleil. Huit séances d'ateliers consacrées au corps exhibé à travers la performance.
A force de contorsions pour se faire accepter on finit par briser sa colonne vertébrale. L’art ne fait pas profession d’avoir l’échine souple. Moi non plus.
Décrier l'exhibition sexuelle c'est nier la réalité du coït, la plus banale de nos réalités, au profit d'une illusion de soi, mère de toutes les violences.
L'éloignement de la peur de ce que l'on est constitue une forme de raffinement de l'être. Adopter sa part animale, c'est devenir humain.
Comme dit Victor de l'araignée et de l'ortie - non pas le docteur Frankenstein, mais son ami le vieil Hugo - moi j'aime la haine parce qu'on la hait.
Le travail ce n’est pas intéressant. C’est être inspiré qui l’est. Être inspiré c’est être appelé vers autre chose de plus stimulant que ce qui était prévu.
Une vidéo des "Camps de l'Amor", performance de David Noir et musique de Christophe Imbs, comme un souvenir onirique de sexe, d'horreur et d'enfance
Violence poétique nécessaire | Attention, ici je tue par la pensée. Super viseur, je suis et ne peux / ne veux t'épargner.