Journal des Parques J-9
Derrière les prétextes, homophobie, violence faite aux femmes ou tout autre racisme primaire, se cache la haine de l’enfance persistante
Parques d’attraction
« Les Parques d’attraction » est une performance collective et costumée, improvisée à partir de mes textes et situations, tant par le public que par mes partenaires et créée en 2013 au Générateur.
Derrière les prétextes, homophobie, violence faite aux femmes ou tout autre racisme primaire, se cache la haine de l’enfance persistante
Exiger, exigeant, exigence | Regard sur les déclinaisons à la racine d'une implication artistique dans la création de projets
Appel à participation des visiteurs.euses qui n’ont pas peur de revêtir panoplie, robe de bal ou peau de bête et savent encore jouer impudiquement d'eux-mêmes.
Les Parques sont l’évolution de "La Toison dort" au sens entendu dans la série Pokémon, c'est-à-dire un stade évolué au degré suivant de la même espèce.
Homme femme, enfant bestial, femme enfant… la palette des identités se fait jour à travers l'animalité et les mythologies de notre espèce.
Aujourd’hui, j’ai gardé en moi cette courte heure de pornographie ordinaire comme un de mes plus beaux moments de spectateur de cinéma.
Visiteurs.euses joyeux.ses de se déshabiller ou revêtir panoplies, robes de bal ou peaux de bêtes sont attendus.es pour habiter "Les Parques d'attraction" !
J’écris avec ma bite et signe d’une entourloupe gustative. Idole de cacao, mon phallus devient comestible pour qui peut en sucer le sens.
Adulte, ton monde est une erreur de A à Z. Tu t’es trompé et te tromperas toujours. Ce faisant tu nous entraînes, nous, celles et ceux qui ne veulent pas
Arrogance magnifique d'un héros ordinaire: Vivre pour bander et jouir à la face du monde ! « Sucez, ceci est ma queue ! Buvez, ceci est mon sperme ! »