Joues-tu-nu ?
Un nouveau blog libre et brut, comme un nécessaire refuge de l’écrit. Un peu secret mais pas bégueule et spontanément lisible pour qui souhaiterait y venir.
survivre
Penser méthodes et ingrédients indispensables pour maintenir les narines au-dessus de la surface des eaux
Un nouveau blog libre et brut, comme un nécessaire refuge de l’écrit. Un peu secret mais pas bégueule et spontanément lisible pour qui souhaiterait y venir.
Comme dit Victor de l'araignée et de l'ortie - non pas le docteur Frankenstein, mais son ami le vieil Hugo - moi j'aime la haine parce qu'on la hait.
Ma grande faculté d'adaptation m'est une violence absolue. Je hais toute relation qui m'y contraint. Rare est celle qui se déroule comme je le souhaite.
Dans une société de guignols, il est naturel de devenir des marionnettes. Reste à pouvoir les doter de corps singuliers et de têtes adéquates.
De quoi bivouaquer post attentats et prendre l'air sur une aire d'autoroute où l’on se parque pour profiter du ciel clair
Les artistes, les vrais qui auraient quelque chose à dire, haïssent le monde et ne lui diront rien, n’est-ce pas ? Et c’est bien mieux ainsi, n’est-ce pas ?
L’individu vrai se risquant hors de sa chambre d’isolement, s’évanouit au contact de l’air. Il refuse de s’incarner lisiblement dans ses propos et ses actes
Tentative d'évasion sociale | Ici il n’y a pas de place pour le blabla social. Même pas le bonjour du matin. Et c’est tant mieux.
Le temps fait voile à rebours, jette un tulle de théâtre sur la vision détaillée des crimes anciens. La beauté tragique de l’Histoire est plus conviviale que l’horreur imminente.
Je suis un programme. Je suis une programmation. Ça + ça + ça + ça. Je ne le décide pas. Je n'en suis pas le maître, juste le conseiller d'orientation...