Un humour platonique de nos contrées
Au-delà des morts atroces et inutiles, la plus grande victime des ravages de l’époque actuelle est le sens de l’humour.
vanité
Au-delà des morts atroces et inutiles, la plus grande victime des ravages de l’époque actuelle est le sens de l’humour.
J'ai dis ce que j'avais à dire. J'ai fait ce que j'avais à faire. Je ne dois rien à personne. Le goût juste me casse les couilles.
Se taire serait une façon décente d'étouffer la pensée qui sera toujours la pénible expression d'un ordre donné à soi-même par sa propre bourgeoisie mentale.
Dans une société de guignols, il est naturel de devenir des marionnettes. Reste à pouvoir les doter de corps singuliers et de têtes adéquates.
Quand on est choqué par quoi que ce soit qui existe, c'est qu'on s'est fait sa petite idée du monde mais qu'on n'y connait rien au monde.
Se RACONTER des HISTOIRES, c'est MORT ! Au lieu d'aspirer à grandir, cessons de nous prendre pour ce que nous ne pouvons être. Stop à l'idéalisation.
La solidarité n'est pas l'affichage de la pensée unique. On ne me fera crier aucun slogan qui ne soit pas de moi. Pas Charlie ce soir, ni un autre jour.
Écrire soulage la tension du trop plein de pensée, endigue l'hémorragie, cautérise le sens, referme provisoirement la plaie toujours humide.
Parfois c'est pénible... forcément pénible, les icônes référentielles. Et quelques fois malgré elles. Tous les dogmes puent ; pas toutes les personnes.
La « guerre utile » existe-elle ? Y aurait-il des échauffourées sanglantes qui constituent un progrès ou un avantage pour l’un ou l’autre des belligérants ?