Mes nuits à l’abri
Moi, je passe mes nuits à l’abri. De tout. A l’abri de toi, malgré ta voix suavement moelleusement gravement radiophonique, hygiénique et concernée.
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Moi, je passe mes nuits à l’abri. De tout. A l’abri de toi, malgré ta voix suavement moelleusement gravement radiophonique, hygiénique et concernée.
J’avais une chatte, une chienne, une femme, un mari, une araignée eh oui / Je vivais dans les poils / Mes éjaculations étaient irrévocables.
Comme dit Victor de l'araignée et de l'ortie - non pas le docteur Frankenstein, mais son ami le vieil Hugo - moi j'aime la haine parce qu'on la hait.
Ma grande faculté d'adaptation m'est une violence absolue. Je hais toute relation qui m'y contraint. Rare est celle qui se déroule comme je le souhaite.
Tu es très gentil... mais je crois que tu cherches à m’imposer tes convictions. Oui, c’est ce que je crois. Mais tu es très gentil...
L’amour est semblable à un minerai enrichi. À l’état pur, il détruit l’être profond. Le tenir à distance n’est pas de l’égoïsme, bien au contraire.
Je fais partie de ces gens bornés qui pense bêtement qu’il n’y a pas de crime sans assassin, de fumée sans feu et d’extrême droite… sans droite.
Exiger, exigeant, exigence | Regard sur les déclinaisons à la racine d'une implication artistique dans la création de projets
Adulte, ton monde est une erreur de A à Z. Tu t’es trompé et te tromperas toujours. Ce faisant tu nous entraînes, nous, celles et ceux qui ne veulent pas
Poésie de la micro trahison, invisible aux yeux, mais si fermement ressentie qu’il faut des années pour en exprimer la substance, en dessiner les contours.