Civilisation de soi : le cerveau est l’enclume
La civilisation de l’individu est un acte personnel qui l’amène à se poser la question de sa propre situation entre sauvagerie et « produit » de culture.
convention
La civilisation de l’individu est un acte personnel qui l’amène à se poser la question de sa propre situation entre sauvagerie et « produit » de culture.
La « guerre utile » existe-elle ? Y aurait-il des échauffourées sanglantes qui constituent un progrès ou un avantage pour l’un ou l’autre des belligérants ?
Adulte, ton monde est une erreur de A à Z. Tu t’es trompé et te tromperas toujours. Ce faisant tu nous entraînes, nous, celles et ceux qui ne veulent pas
« Je ne veux pas être réduite à ça » dira-t-elle. « Ça ne montre qu’un aspect de moi » opposera-t-il. « Prétention à être autre chose qu'un cul » dirais-je.
Rien que les poissons et que l'on ne soit même pas là pour les voir. Que personne ne relaie ce que l’on sait déjà et même ce que l’on ne sait pas.
La misère ne frappe pas que le pauvre monde. Elle colle aussi aux moyens les plus titanesques et révèle l'illusion la plus triste des créativités de surface
«Tu comprends, la nudité érotique, c’est tellement plus fort que la brutalité pornographique…» ; « Oui, oui… et mon cul ? » répondrais-je sobrement.
Quand on crée dans un Espace National, on ne rencontre pas le public, on rencontre l’État. Aucun artiste ne peut sérieusement revendiquer s'en affranchir.
Les chemins de l'art ne peuvent être tracés dans les pas de la vorace institution. Moins encore ceux qui ne sinuent qu'au long d'infinies brisures poétiques
Cette idée de devoir à tous crins partager de l'émotion en guise de couronnement à d’exceptionnelles circonstances m’est devenue partiellement étrangère.