écriture infinie
Une prolifération poétique au gré des connexions synaptiques afin de tapisser d’un revêtement feutré les soubassements d’un univers mental en développement
Je suis revenu du pays des gens / Centaure de la révolution / J’en ai fait le tour complet à mon propre dos de cheval / Parfois on y est bien
...mais quel rapport a-t-on entre deux génuflexions ? Entre deux fellations ? Entre deux génu féla xions ? A-t-on déjà eu des rapports ?
Les artistes composent réellement une race de misère que j’exècre. Pire encore, l’amateur d’art: le con fini à l’état pur...
Le Cabaret | Essence vitale de la scène, goût immodéré de l'exhibition, face à face obscène avec le public, immersion en eaux troubles et crachat délicieux.
Il ne s’agit pas d’être en bonne intelligence avec qui ne le souhaite pas, ni de « faire société », beurk une bonne fois ! Il s’agit de mériter ses supposées capacités cérébrales d’individu évolué. Il y a un prix à devenir humain : ne pas se contenter d’être.
Identités variées : roi par les prénoms, guerrier sur un plateau, poète un peu chaque jour. Noir, anar esclave, nègre marron. Bi, même gai quand j’y arrive.
Ici vous pénétrez dans l'envers du site, à travers les méandres de l'esprit artistique qui y préside. Ni ergonomie, ni cohérence ; juste une poésie prospère.
Un peu de brutalité dans ce monde de poésie. Sans blague. Tu ne crois quand même pas que j’ai envie de rencontrer des humains. Tu n'es pas mon visage. Tu n'es pas mon projet.
David Noir dessine un parcours sinueux vers la scène et les arts vivants depuis 1986 en tant que performeur, comédien, chanteur, auteur et metteur en scène.
