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Zelle, die in Frieden ausartet | Acryl auf Papier © David Noir

Ich möchte ein Fremder bleiben

ICH MÖCHTE EIN FREMDER BLEIBEN

Gewalt Manifest

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Vertrieben von Smashwords

Seite der Website, die der gleichnamigen Performance gewidmet ist

 

Ein wenig Brutalität in dieser Welt der Poesie

Also, wenn Sie nichts dagegen haben, degeneriere ich in Ruhe! Dieu mangea au KFC et il vit que cela était bon. Je me fous de la vie affective et sociale de mes contemporains. Qu’ils soient vivants ou morts, femmes ou hommes, inconnus ou célèbres, enfants ou vieux, de l’autre bout du monde ou de l’immeuble voisin, peu m’importe. La seule chose qui compte à mes yeux est ce qu’ils et elles peuvent bien avoir encore à fournir de généreusement singulier, pertinent et inventif, depuis leur mystère enfoui m’arrivant en écho du fond de leur caboche. Il ne s’agit pas d’être en bonne intelligence avec qui ne le souhaite pas, ni de « faire société », beurk, une bonne fois ! Il s’agit de mériter ses supposées capacités cérébrales d’individu évolué. Travailler, penser, questionner et si possible même, aller un peu au-delà. Il y a un prix à devenir humain : ne pas se contenter d’être. Se suffire apporte une belle dose de suffisance. Le contentement de soi est nécessaire et possible à la condition d’avoir une certaine conscience bien vécue de la médiocrité des efforts que l’on fait pour grandir. Inutile de se lamenter sur les horreurs de la vie si c’est pour se contenter de vivre. Et ton genre, et ta sexualité, et gnagnagna, et ton intolérance, et tes avis sur tout ce qui passe, et ton indignation à pas cher jusqu’à ce que tu rampes devant un nouveau pouvoir et change d’avis, et ton moi, moi, moi et ton j’ai le droit, et ta sensibilité, et ta famille, et tes enfants, et ton racisme imbécile et culturel ; ah ta culture oui, oui ; ton identité, oui, oui ; et ton anti racisme plus raciste encore, et ta religion, et ton réseau social, et ton art, ah oui ton art, et ton bon goût, pauvre merde qui ne sait toujours pas que tu es ce qu’on a fait de toi, toi qui pense exister par toi-même. Ta prétention à être mérite ton inexistence. Vis à vis de toi et de tout le reste, je veux rester un étranger. Mais un étranger doit-il toujours avoir le nez camus ? Je dois changer de visage. Tu n’es pas mon visage. Tu n’es pas mon projet. Mal aimé. Aimé de la mauvaise façon. Se trompe d’amis. Se trompe d’amour. Les paons (Léon !) ondulent à l’heure. Et bien en dessous du niveau de l’amer. Moi ma façon de résister c’est de m’inscrire le moins possible dans le rapport vécu comme social, de ne pas abonder dans le sens des indignations de convenances qui commencent et s’arrêtent aux portes des réseaux sociaux. Ma façon de résister est de considérer que penser en artiste est bien moins banal et bien plus exigeant que de produire de l’art. Idées reçues ! Une victime n’est pas quelqu’un qui pleurniche. C’est quelqu’un qui justifie les actes de son bourreau. Tiens, le tour des crouilles, une version raciste du chef d’œuvre de Henry James. Barbara stressante. Il y a tant de façade dans le couple. Burne funéraire. Les petites filles prétentieuses n’ont qu’à bien se la tenir. Chaque jour la pratique de l’art me semble d’une bêtise insondable. Je clamse seul… Dans les rues sans personne. Crade crade crade crotte crotte crotte. Dès l’aérocrade j’ai senti la crotte. Ici nougapork. Qu’il est beau mon pénis, qu’il est beau ! Oh too loose ! La complaisance cache le vide des relations quand vivre devient trop d’efforts. Parler directement des choses ne les aborde pas toujours. Le désert des steaks tartares. Je porte plinthe ce jour ou mon ordinateur me fichier. N’importe qui qui entrave ma marche peut devenir mon ennemi. C’est ça un ennemi, quelqu’un qui entrave ta marche. Chaque matin il ne me reste rien de la veille. Ma vie normale a disparu. Je ne suis pas au bon endroit. Pourtant je vais là où les gens sont les meilleurs. Mais moi je ne m’y trouve pas. C’est terriblement dur d’être soi. Quand presque personne ne le souhaite. Si l’horreur est là, tout près, bien présente, à deux pas, c’est aussi à cause de ça. Non, non je ne souhaite pas te provoquer ; te provoquer ce serait encore dialoguer. Je ne veux que dire et pas forcément que tu m’entendes. Les clichés de langage repris sans réflexion marquent le début d’un commencement de bêtise de la part de l’individu qui affirme soudain son existence en s’imaginant rejoindre un grand collectif. En renonçant ainsi à l’invention de lui-même il contribue à faire régresser ce qu’il croit contribuer à faire aller de l’avant : sa stupide idée d’un humanisme à 2 balles ; un humanisme qui ne lui coûterait pas d’autre effort que de dire « Pas de soucis », « Que du bonheur » ou pour le léger niveau d’intellect juste au-dessus, le redoutable « Faire société » et tout aussi beurk : « Le vivre ensemble ». Outre l’aspect indéniablement lèche-cul vis-à-vis d’un esprit du bon goût de l’époque que les décideurs et institutions reprennent également facilement à leur compte dans leurs choix esthétiques en matière de culture, ce refus ou absence de singularité personnelle fait de l’individu touché par cette contamination, une larve. Qui n’est plus de bon ton ? Entre Trump et John Waters, t’es bien emmerdé. Con à l’infini. Le conformisme imbécile des projets thématiques. Peut-être est-ce de la performance ? Qu’est-ce qu’un spectacle ? Une présence. Transposer l’art de la parole et du corps dans un costume. Le petit coup de stylo a son importance. Tous les jours je biffe et me rebiffe.

Lies deine Streichungen

Frei kann nicht du sein, das bin ich. Es kann nicht von dir abhängen, es ist von mir. Alle Konformität ist unausstehlich. Das Glück liegt im Bankkredit. Die Übelkeit der Menschheit - Übelkeit? Ach so! Deine Kultur ist deine Grenze. Jeden Tag zwischen Kühnheit und Feigheit. Inwiefern wäre die größte Zahl besser geeignet, ein Wertesystem zu verkünden, das jedes Individuum isoliert konsultiert? Im Singular ist die Summe der Einheiten nicht gleich dem Ganzen. Die Zugehörigkeit zu einer Gruppe ist eine soziale Falle. Perfo-Romanze "pfeift auf die tote Kunst". Über den kriechenden Künstler. Ankommendes Kriechen; küsst die Füße der Kulturverantwortlichen. Hier, Michel Simon als Gorilla. Wir kennen uns, wir haben uns erkannt. Ich habe mein Affenkostüm verpasst. Man muss alles haben, um ein Monster zu machen, wie Arnold und Willy sagten. Alle diese Leute schäumen bis zum Gehtnichtmehr, beruhige dich Zuschauer. Ich werde mich nicht zurückhalten. Ich werde dich nicht bewahren. Ich werde nicht nuancieren. Ich werde mich nicht einbeziehen oder subtil tun. Ich werde aus mir herausspucken, was du mir einflößt. Ich werde dieses Du auskotzen, ohne die Pinzette der Demut oder des Stils zu nehmen. Ich werde es einfach sagen. Ich werde es groß sagen. Ich werde groß schreiben, denn je größer, desto besser. Weil du Slogans liebst, die dein Leben vereinfachen und dir das Nachdenken ersparen. Weil du Werbung, modische Turnschuhe und Buzz liebst. Aber auch, weil du dich für besser halten kannst, wenn du Gelehrsamkeit, Kultur und Pädagogik liebst. Weil du derselbe, dieselbe bist, egal wie du dich gibst. Der gleiche, die gleiche wie all die anderen, die du für anders hältst. Weil du dich nicht ändern wirst, weder zum Guten noch zum Schlechten. Weil du immer derselbe warst und immer derselbe sein wirst. Der gleiche Mann, die gleiche Frau, immer. Weil die Grobheit deines Denkens dazu dient, die Zeit totzuschlagen; weil die Subtilität deiner Argumente nur dazu führt, dass du sie unter dem Vorwand, sie wäre für uns nützlich, vergehen lässt. Wir, die Welt. Weil du glaubst und hoffst, dass wir die Welt sind. Besser und mehr die Welt als andere Lebewesen, als die Kellerassel, als der Virus oder als der Hund. Besser und mehr die Welt als das Schlachttier oder die Mücke. Ich werde es dir beibringen. Ja, ich werde dich lehren, was du bereits weißt, dir aber nicht bewusst ist, dass du es weißt, oder was du nicht wissen magst, aber dennoch weißt. Ich werde dich von diesem Ort aus lehren, an dem ich mich von dir löse, an dem ich nicht mehr wie du bin. Die Zensur ist für das Schafott, aber nur wenige wenden sie an. Die soziale Welt ist eine Verschmutzung. Dein Denken ist eine Verschmutzung. Der Dialog ist eine Verschmutzung. Schmutzige Niederlage. Warum möchte ich, wenn ich einen Theatersaal betrete, ihn am liebsten wieder verlassen? Warum kann ich es kaum erwarten, ein Buch zu schließen, wenn ich es wahllos aufschlage? Warum fällt es mir schwer, vor den Bildern im Kino, seiner sich entfaltenden Geschichte und den vorbeiziehenden Schauspielern auf meinem Sitz zu bleiben? Warum ist es mir unmöglich, mehr als ein halbes Stück Musik auf einmal zu hören? Warum ersticke ich in der Kultur? Mein Verlangen. Ich sehne mich: nach einem Körper, der mich trägt, und nach Beinen, die laufen können. Ich habe Lust, nicht zu wissen, wer du in der Tiefe bist, wenn ich mich zuerst mit deiner oberflächlichen Freundlichkeit auseinandersetzen muss. Ich bin eine Summe von Schüttgut, die die sterile Ordnung des Denkens der Denker nicht mehr ertragen kann. Hollywood Kaugummi oder die Plejaden, das ist mir egal. Siehst du, dennoch, dennoch habe ich keinen Revolver, den ich aus meiner Revolvertasche ziehen könnte, um dir das zu sagen. No bowling, no Colombine. Context bist du da? Schieß einen Schuss für ja, zwei Schüsse für nein. Ich will nicht du sein; ich will nicht du sein. Ich pfeife auf das "Zusammenleben". Ich lebe schon nicht mit mir zusammen. Es ist mir nicht wichtig. Jeder für sich selbst zu leben, wäre doch schon leben, oder? Wenn jede/r das schon lernen würde. Und wenn man erst einmal zusammenlebt, was macht man dann Schönes? Schlürft man sein friedliches Glück in der Ruhe und Harmonie aller? Ist das der Mensch, denkst du? Ist es das, was du dir wünschst, dieses Fehlen von krankhaftem Ehrgeiz? Von Bar zu Bar, von Konzert zu Konzert, von Kinobesuch zu Kinobesuch, von gemütlicher Party zu gemütlicher Party - das Leben läuft einfach so dahin? Mein Problem ist, dass du, wenn du der Mensch bist, so wie du bist, zufrieden mit deinem kleinen Dasein, deinen billigen Vergnügungen und deinem kleinen Genuss, mich nicht mehr als alles andere interessierst. Nicht mehr als ein Stein, der auf die Straße geworfen wird, nicht mehr als ein Gras unter Tausenden, nicht mehr als eine der Milliarden von Scheiße, die jeden Tag in Massen produziert wird. Nichts, du bist nichts. Nichts, das etwas wert ist. Die usurpierte Normalität. Es gibt nichts Schlimmeres auf der Welt als denjenigen, der sich für richtig hält. Und vor allem nicht du; noch weniger du, der sich für etwas oder jemanden hält. Nur jemand, der gut ist, aber vor allem nichts. Sich für etwas zu halten, das "ein Recht auf" hat, ist wirklich die dümmste und unrealistischste Eitelkeit der Welt. Du, die du immer die Natur predigst, solltest wissen, dass du für deine geliebte Natur nichts zählst. Ein Mensch mehr von dir, ein Mensch weniger von dir, bof, bof, bof! Hast du nicht das Gefühl, dass in deinem Blumengarten etwas fehlt? Ein Ziel, ein Zweck, eine Konstante? Ja, ja, du bist fast da. Die Spannung nicht wahr? Würde man das nicht manchmal so nennen, die Lust zu leben, weiterzumachen, gewisse Risiken einmal einzugehen, nur um zu sehen? Es stört mich, wenn man mich liebt; es stört mich, wenn man mich nicht liebt (B. Bardot, angeblich). Die Globalisierung ist vor allem die Globalisierung des Schwachsinns. Lassen Sie uns ein wenig über Umweltverschmutzung und Umwelt sprechen, da dies dem Zeitgeist entspricht. Ich bin erstaunt, dass man nicht mehr über eine Umweltverschmutzung spricht, die genauso schädlich ist wie die, die medial immer wieder, wenn nicht sogar noch mehr, wiederholt werden, weil sie die Ursache aller anderen ist: die geistige Umweltverschmutzung. Was liegt unter allem? Es gibt den Ort, an dem man sich befindet, und dann gibt es noch das Jenseits. Dorthin muss man gehen. Und dort ist es nicht sehr weit. Es ist genau an der gleichen Stelle wie dort, nur ein bisschen tiefer. Jenseits dieser Schmutzschicht, die dir als Kultur und Identität dient. Zum Schreiben braucht man keine Inspiration. Man kann über alles und jedes schreiben; aus allem und jedem. Man kann über ein nasses Kleenex schreiben. Du nervst mich mit deinen ästhetischen Formen; du bist nichts; nichts, was etwas wert ist, wenn du nicht die Macht ergreifst; die einzige Macht, die zählt; die Macht, das zu zerstören, was nicht du bist, was dich daran hindert, zu sein; was dich verleugnet. Das heißt, alles andere drum herum. Zerstören, sagte sie? Hast du es nur einmal getan? Aber hast du es auch nur versucht, zu beschäftigt damit, deine kleinen Familien zu gründen, deine kleinen Kämpfe auszutragen, zu denken, dass du denkst. Eine Scheiße, die so groß ist wie der Arsch, der sie produziert. Glaubst du wirklich, dass es bequem ist, wenn es Kunst gibt? Glaubst du wirklich, dass man dieses Ding, das alles zermalmen muss, um seine eigene Existenz zu sichern, teilen kann? Ach, weil es dafür Ministerien gibt? Um das zu reglementieren, was normalerweise dazu führen sollte, dass sie ausgeschaltet werden? Dein Witz ist gut. Geh und mach deine Musik, die dich verzaubert; mach deine Malerei, die dich erfreut; produziere, was du nicht brauchst, denn das einzig Notwendige ist, neue Luft zu atmen, die frei ist von den Miasmen deiner eigenen Kultur und deiner billigen Überzeugungen und deiner Werte, die du für sozial hältst! Erfinde dein Leben, du armes Stück Scheiße, aber denke vorher nach, denn es wird nicht von selbst kommen. Franzose, streng dich noch mehr an ... um aus deinem Dreck herauszukommen! Sollen wir hier aufhören? Ich mag unvollständige Dinge; Fossilien und Lücken im Text. Sich zu interessieren ist kitschig. Weißt du, um der Gewalt entgegenzuwirken, braucht man noch mehr, woanders. Du willst deine Revolution; gegen die menschliche Dummheit wird sie nicht sanft sein. Die Menschen verdienen es, zum Tode verurteilt zu werden. Ah ah der Witz! In Wirklichkeit sind sie es schon. Die wahren Werke sind geheim. Sie bilden nicht dieses lächerliche Erbe, das als Kultur verkauft wird. Die Sprache übersetzt das kollektive Denken. Verachtung der Sexualität oder der Organe? Mehr als ein Verbot. Es ist ein Ei. Ich wichse darauf. Con. Aus dieser Verachtung resultiert Misogynie, Gewalt, Homophobie ... Überbewertung des Kindes. Deine Kultur ist deine Grenze. Entweder braucht die Zeit dich, oder du nützt ihr nichts und wirst nicht in die Geschichte eingehen. Es ist nicht deine Entscheidung, ob du in die Geschichte eingehst oder nicht. Es ist die Zeit, die ihre Geschichte schreibt, und du spielst darin eine Rolle, ob groß, klein oder nicht. Ob deine Existenz für die Geschichte notwendig oder absolut nutzlos ist, spielt für die Geschichte selbst keine Rolle. Die mit dem großen H. In ihr ist alles unendlich ersetzbar. Wenn es also nicht diese Fiktion, diese Realität gewesen wäre, hätte es unendlich viele andere Möglichkeiten gegeben. Selbst wenn man sie auf nichts reduziert, kann eine Geschichte nicht nicht existiert haben. Eine Geschichte muss sich nur die Mühe machen, geboren zu werden. Respekt, Ehre und Würde. Wouaf! Wauwau! Wouaf! Primitive Gesellschaft, in der eine Unterschrift als Zustimmung gilt. Du Narr, ich mache dir so viele Unterschriften, wie du willst, Höhlenmensch. Das gegebene Wort! Was für ein Schwachsinn! Ich habe kein Wort zu geben. Was ist die Regel, ist das Spiel, ist das kein Spiel, ist das Betrug? Du hast kein Recht dazu! Und du hältst dich für berechtigt, mich deswegen einzusperren. So mag die Justiz funktionieren, aber das ist nicht meine Art. Echte Opfer sind genauso selten wie echte Henker. Gesetze stehen nicht über dem, was ist. Gesetze wachsen nicht auf den Feldern. Was ist wichtiger im Leben eines Menschen, seine Konformität mit der sozialen Welt, die ihn ebenso beherbergt wie sie ihn einschließt? Und wer profitiert davon? Die Freiheit der Beleidigung, welch ein Glück! Die Freude der wiedergefundenen Spontaneität.

Ich möchte ein Fremder bleiben

Ich möchte sagen, dass das nicht meine Welt ist. Ich möchte sagen, dass ich diese urbane, bürgerliche und soziale Geselligkeit nicht will, der das Zusammenleben angeblich nachjagen möchte. Ich möchte sagen, dass dein Teilen, der obligatorische Wert der heutigen Zeit, mich erstickt. Dass deine Debatte... ach die Debatte, die Ideen der anderen. Brauche ich sie? Nein, das glaube ich nicht. Ich fühle nichts in dieser Größenordnung. Ich sehne mich nach der Stadt, die nicht tot ist, sondern erloschen und blicklos. Die durchscheinende Stadt, vor allem nicht rosa, grün oder in irgendeiner anderen Farbe. Stille Stadt. Der Blick, der mich respektiert, ist auch der Blick, der mich nicht ansieht. Und in gewisser Weise geht mich nichts davon etwas an. Deine festliche Erregung bringt mich an den Rand der Übelkeit. Es gibt keine Identität, wenn man dem Kollektiv folgt. Ich will ein Außenseiter bleiben. In den sozialen Räumen der Maskerade machen Sie keine Kunst, geschweige denn laden Sie sie dazu ein. Wenn Sie sich in Ihre Räume des gemeinsamen Miteinanders begeben, treten Sie sie mit Füßen. Nur die Scheiße, in die man so tritt, ohne zu merken, wohin man getreten ist. Durch die Verrenkungen, die man macht, um akzeptiert zu werden, bricht man sich schließlich das Rückgrat. Kunst ist kein Beruf für ein flexibles Rückgrat. Ich bin auch keine Turnerin. Du vielleicht auch nicht, wenn du kein Regenwurm bist. Ich möchte ein Außenseiter bleiben. Heute ist die Subversion leider völlig und absolut auf die Seite der Groben und Kriminellen übergegangen; der twitternden Präsidenten und der unwissenden Terroristen. Politische Korrektheit ist nun überall, und ihre Ablehnung gilt in den Augen der kulturellen Gutmenschen, zu denen auch die Künstler (oder zumindest die sich als Künstler bezeichnenden Kunstproduzenten) und Kunstförderer gehören, die alle in einem großen, schönen Korb vereint sind und nicht mehr wissen, was sie tun sollen, da ihnen ihr einstiges Steckenpferd, ihre Lebensader, weggenommen wurde, als Beleidigung. Auf der Zielgeraden nach den Siebzigern wurden sie an die Wand gespielt. Das ist es, was in fast 50 Jahren durch deine einzige große Schuld geschehen ist, soziale Welt: eine Fassadenschwäche, die zu einer tiefen Schlucht geworden ist. Die Maske, die die Gesellschaft über das Gesicht jedes Einzelnen legt, funktioniert wie ein Pflaster. Sie diffundiert und haftet an der Haut. Sie schweißt sich mit ihr zusammen und auf wundersame Weise reduziert sich deine Tiefe, liebe Menschheit, auf ... dein Aussehen. Konsumieren konsumieren konsumieren des Schicklichen und Anständigen, egal wie hemmungslos oder pseudo-frei oder anstößig es sein mag, solange es normiert ist. Vulgäres Verhalten wird zu Chic und gutem Ton. Aber wir irren uns oft, wenn es um das Vulgäre geht... Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich, das ist es, was wir jeden Tag laut und deutlich verkünden sollten. Dennoch würde es sinnlos erscheinen, mit denen zu sprechen, die nicht hören. Und auch nicht mit anderen. Aber ein Einzelner versteht manchmal. Also gut. Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich. Hier sind die Anarchisten, die Götter und Meister anbeten. Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich Fick dich. Das sollte jedoch nicht die Beleidigung "Arschloch" sein. Grobschlächtige Menschen sind das, was mir begegnet, sobald ich das Haus verlasse. Die neolithische Stirndicke ist wie eine Ausbuchtung auf ihrem Gesicht. Die Ausstrahlung; ein wenig weiter als dein 2cm-Kreis um die Trompete, dein taktloses Lambda-Gehirn, das spricht, brüllt, mault. Und wenn deine Entmutigung die Form des Vorwurfs annimmt, dann wirst du zu dem, was du von Natur aus bist: bösartig und voller Hass und Missgunst als Reaktion auf deine eigene Schwäche. Und du beschimpfst mich in der ganzen Herrlichkeit deiner Schlechtigkeit. Ja, du bist ein Schurke, ein Unehrlicher. Ich würde dir das nicht völlig übel nehmen, wenn das Leben nach diesem Gebot eine beneidenswerte Lösung wäre, nur wäre es eine Lüge, das zu behaupten. So lebt man nicht gut. Wahre Macht verlangt nach Tiefe. Zumindest an einer Stelle. Nämlich die, nicht zu gefallen. Ablehnen ist das Beste, was man tun kann. Sich zu öffnen heißt nicht, dumm nett zu sein. Anbeten ist einfach nur dumm sein. Nein sagen heißt, sich zu distanzieren. Danach wird man sehen. Und dann wieder. Nicht sicher. Jahrelange Psychoanalyse und was passiert danach? Wenig Nennenswertes. Meine Wahrheit ist, dass man sich aus dem Loch des Unbehagens, des Unwohlseins, in das man jahrelang gefallen ist, in einer Viertelstunde herausziehen kann. Eigentlich nur ein bisschen länger, als es gedauert hat, bis man hineingestoßen wurde. Eigentlich nur ein Bruchteil einer Sekunde. Auf das allwissende Gehirn hören. Das war's. Ein paar Minuten, um wieder zurückzukommen, ja, denn das Unbewusste ist nicht so tief. Es ist kein unergründlicher Brunnen, nur eine Spurrille. Aber es ist mehr als sein vager Instinkt, dem man folgen muss. Es ist seine Gewissheit. Auf nichts hören, was schlingt. Sich nicht mehr von der dummen Brutalität beeindrucken lassen, die Schilder und Slogans hochhält und Buttons und Plakate im Namen von ... nein, nichts, nur sich selbst aufstellt. Das, was man gerade ist, wird immer besser sein als das, was man vorhat zu sein. Rechnen dauert zu lange. Das überlässt man den Computern. Selbst ist etwas ganz anderes. Keine Debatte. Vor allem keine Debatte, kein Austausch, keine Diskussion. Nur das vor den eigenen Augen auftauchende Porträt dessen, was man im Moment ist. Das ist es, was sich ausdrückt und ausdrücken muss. Das ist es, was man ist. Das ist kein Blabla um sich herum. Standhaftigkeit hält den Körper und den Geist zusammen. Man muss ihr Vertrauen schenken. Sie ist eine haltende Hülle. Sie ist unverzichtbar. Es ist Weitsicht ohne Hysterie. Sie ist eine harte Droge ohne Nebenwirkungen. Endlich man selbst. Warum hat man ihn so lange im Vorzimmer seiner Existenz warten lassen? Das ist doch nicht richtig, oder? Ich weiß nichts davon; habe ich es wirklich erlebt? Ich sage es einfach, weil ich weiß, dass es so ist. Im besten Fall, wenn die Situation am schlimmsten ist. Aber du, du stehst doch im Leben, oder? Projekte, Partnerschaft, Familie? Dann lass uns ein Beispiel nehmen. Folge mir einfach. Ist es das, was wichtig ist, ein Vater zu sein, eine Mutter zu sein? Ist uns nichts Besseres eingefallen als diese Scheinübertragung? Auf der ersten Stufe dessen, was die Natur vorschreibt? Aber Sie wissen nicht einmal, was Sie Ihren Söhnen, Ihren Töchtern vermitteln sollen. Sie finden sich, weil sie glauben, den großen Sprung geschafft zu haben, als hilflose Seligmacher wieder. Ich habe das Theater bereits beendet. Mit einem Strich habe ich es durchgestrichen. Für mich. Aus in seiner überholten und betulichen Form. Es ist sinnlos, hundertmal dieselbe Aufführung zu wiederholen, um eine kleine Karriere aufzubauen. Was gesagt ist, ist gesagt. So kommt man voran. Ich liebe das Spiel, seine Praxis und seine Techniken, aber die Darstellung, die es noch verwendet, ist meist die dümmste, die es gibt. Alles, was ich tun kann, ist, dir das Bild deines eitlen sozialen Schwachsinns zurückzugeben. Kleiner Auftrag des Elends, der ohne Verve umgesetzt wird. Auch mühsam. Denn das Problem bleibt einzigartig und immer gleich, wahrscheinlich seit der Entstehung des Bewusstseins: Feigheit. Wie lebst du damit? Dann überwinde den Ekel. Wie soll das gehen? Nur weil man wieder einmal das Bild der Willfährigkeit und Heuchelei zeichnet, heißt das nicht, dass man selbst offensichtlich davon verschont bleibt. Vielleicht ist sogar das Gegenteil der Fall. Und was will man damit eigentlich sagen? Ich für meinen Teil bin immer noch ein Idiot.

Ein bisschen Anspruch schadet nicht und führt zu Ehrlichkeit

Es fällt mir schwer, "con" zu schreiben, auch wenn ich es in der gesprochenen Sprache aus Gewohnheit, Bequemlichkeit und Konformismus häufig verwende. Ich würde es gerne weniger oft verwenden. Etymologisch gesehen bezeichnet "con" den Hasen, vor allem seine Nase und das Geschlecht der Frauen. Ich finde es schrecklich, dass es heute eine der am weitesten verbreiteten Beleidigungen ist. Umso mehr, als ich eine große Anziehung und manchmal sogar Zuneigung zu Vulven habe; es kommt immer darauf an, wer dahinter steht oder welcher Kopf am anderen Ende ist. Lassen Sie uns also ab sofort etwas ändern. Ich werde heute sagen, dass man mich nicht mehr für dumm halten wird. Man wird mich respektieren. Wenn es sein muss, wird man mich fürchten. Ich weiß noch nicht, wie, aber es wird geschehen. Es wird geschehen. Ich will, dass es passiert und nicht ein fiebriges, ängstliches Ding sein, wie ich es von der Welt geerbt habe. Um respektiert zu werden, muss man natürlich zuerst sich selbst respektieren, nicht wahr, würden mir die Selbstentwickler sagen? Eine schwierige Aufgabe, nicht wahr? Ich habe lange Zeit geglaubt, dass Mut bedeutet, sich in Schwierigkeiten zu begeben. Ich verwechselte ihn mit der Prüfung. Aber wenn man nichts gelernt hat, gibt es viele Verwechslungen für einen Kopf, der versucht, die Dinge ins Lot zu bringen. Und sie sind mit sich selbst zufrieden, diese Künstler-Arschlöcher! Den anderen zu lieben, weil er dich liebt, ist die erste aller Feigheiten. Zu gefallen, um geliebt zu werden, ist die zweite. Man darf von der menschlichen Natur nicht mehr verlangen, als sie geben kann. Liebe kann man nicht konstruieren. Du nervst mich mit deinen Werten der Liebe, die man aufbauen kann. Wer kümmert sich um meine Wut? Vielleicht kümmerst du dich selbst darum? Mit seiner Prostitution gegenüber anderen und Gesellschaften umzugehen, darum geht es im sozialen Leben. Jeder verteidigt seine Prostitution, während jeder unter Zwang lebt, unter Zwang handelt. Sex und Gesellschaft - Bilder. Das Leben in einer Partnerschaft ist eine tödliche Infektion für den Einzelnen. Nach einer gewissen Zeit sollte er das wissen. Ich spreche, weil Sie nicht schweigen. Es gibt Hochs. Es gibt eine Debatte. Nur die, die sehen, haben Grund zur Furcht. Der Freiwillige scheint für die kleinen Nazis vom Arbeitsamt zum gelben Stern geworden zu sein. Die Medien machen die Prominenten. Die Politiker machen die Bilder der Welt. Und manchmal macht die Musik Lärm. Und manchmal verschmutzt das Wort. Poesie ist das, was übrig bleibt, wenn die Effizienz verschwunden ist. Effizienz ist das, was bleibt, wenn die Poesie verschwunden ist. Als unerwünschte Spam behandelt. Die Erfahrung von Verständnis und Sanftheit?! Hm hm! Weil wir Schuldgefühle haben, denken wir Böses. Schuldgefühle erzeugen Gewalt. Ist das Gegenteil der Fall? Wir wollen einfach Teil dieser Gruppe von Menschen sein, die auf der Erde leben. Oder eben nicht. Ungeprüftes Klischee: Frauen sind schön. Ah ah! Na, dann setz dich mal fünf Minuten auf die Straße und sag mir, ob du Grace Kelly oder Greta Garbo triffst. Das ist wirklich gute Frauenfeindlichkeit, nämlich wie ein vereinbarter Depp zu sagen, dass Frauen schön sind. Aber Vorsicht, die Mädchen sollten es nicht so sehr mögen und diese Schmeichelei, als schön zu gelten, aufrechterhalten, denn im Grunde macht es doch ein bisschen Spaß. 2th Schwachsinn: Schönheit ist anderswo (das sagt man, wenn man sie nirgends findet) und sogar alte Menschen sind schön. Na los, fick deine Oma. Du willst zuerst umgehauen werden und dich dann für die Details interessieren. Die Nuancen kommen nie sofort. Grobheit und Götzenverehrung Hand in Hand. Das ist deine Vision von Kunst, vom Leben und von stark und schön. Der Schock, sofort verstanden, so wie du ein Sushi isst und dann weitermachst. Ein weiterer Schock, zukünftige Kommunikation deiner Verkleidung des Lebens. Wow, du fühlst! Was für ein Talent du hast! Aber im Leben, eigentlich nicht. Letztendlich nicht so sehr im wirklichen Leben. Verkehrsunfälle, gewalttätige Trennungen, Explosionen in der U-Bahn, Faustschläge in dein Gesicht, da sind wir sofort weniger Fan. Du willst dich auflehnen und rufen können: "Das trifft mich! Schau mich an, ich bin hier, ich reagiere, ich lebe noch". Komm schon! Spring aus deinem Grab, du alte Schachtel, du alte Schachtel, und komm und erzähl uns eine deiner Geschichten, die dich zu Tode langweilen. Steh auf! Tut mir leid, meine Rolle ist es nicht, dem Schmerz in den Arsch zu kriechen. Was zum Teufel ist ein Künstler? Nicht dazu da, deinen Bildschirmhintergrund zu gestalten oder das Wohnzimmer mit deinen geselligen Gedanken zu schmücken. Fallen Sie steif. Ja Feigen! Ja Feigen! Der verbundene Obstbaum stirbt, weil er zu viel gegeben hat.

Notruf: Wir wissen aus zuverlässigen Quellen, dass es noch viele Autoren und Regisseure gibt, die Theater spielen, verstreut an verschiedenen strategischen Orten, an denen sie platziert wurden, ähnlich wie einige japanische Veteranen, die das Ende des Krieges nicht kannten und 30 Jahre später immer noch auf den Inseln der Philippinen auf der Lauer liegen. Bitte helfen Sie uns, sie zu finden, um ihretwillen und vor allem um unsertwillen. Schalten Sie Ihre Scheiß-Handys aus und vor allem: Viel Spaß bei der Show.

Nicht nur der Teufel steckt im Detail. Ding dong! Was für ein Klingeln der Krieg! Die Kunst antwortet nicht mehr. Sag mal, altes Ding, was für einen Platz in der Natur hast du denn noch? Alter, Werdegang und Anmaßung - wer weiß. Dichter und Künstler zu lesen, zu sehen oder zu hören, betrübt mich mehr als alles andere, als allzu offensichtliche Beweise ihrer Ohnmacht. Komm, kämpfe mit deinen kleinen Armen; du wirst mir sicher nichts Neues erzählen. Rührung, Entzücken über den Schock; manchmal endet alles in Unterhaltung. Ja, das Leben wird bekanntlich immer interessanter. Umkehrung der Proportionen; großer Anteil der Umkehrungen. Inhalt von Werten als Ersatz für den Wert von Inhalten. Nur zu. So ist das eben. Ach ja, weiterentwickelter Bürger, erzähl mir noch von deiner même pas peur, von deinen großen Messen gegen den Schmerz, groteske Verleugnung der kriegerischen Bedrohungen und aller Bedrohungen im Übrigen. Unglücklicher Ungehorsamer, der nichts anderes kennt, als sich zu unterwerfen. Ghostwriter, Histrion. Wann wirst du dein erstes Wild erlegen? Wann bringst du uns deine erste Trophäe, wie das primitive Individuum, das du sein solltest? Vielleicht wird es der Kopf eines Präsidentschaftskandidaten sein oder der Kopf eines Agenturleiters, der Agentur von was? Wir wissen es nicht, jetzt, da Agenturen für alles und vor allem für alles florieren. Reiseagentur, Arbeitsagentur, unbeweglich gestern und heute, Agentur C. Bastien back in the bacs... demnächst... wieder auf Ihren Bildschirmen! Ein Künstler paktiert nicht mit der Gesellschaft, verstehst du? Er umgeht sie, er schröpft sie und er tötet sie; er lässt sie ausbluten. Wozu sonst all die Mühe, die er auf sich nimmt und gibt, um andere Pfade zu schlagen? Sie müssen sie schlagen und abschießen. Ein Künstler muss aus nächster Nähe schießen. Ohne Vorwarnung, ohne sich zu entschuldigen, ohne den geheimen Wunsch nach Vergebung. Alles andere ist Selbstgefälligkeit. Aber er muss es leise tun. Und dabei sicher sein, dass er, wie eine gewisse Wespe es mit der Spinne tut, an der Stelle der Zerbrechlichkeit sticht und Eier legt, wo die soziale Haut am zartesten ist und mehr als irgendwo sonst bereit ist, zu reißen. Oh yeah! So ausgestattet, kann ein etwas geschickter Primat, ein affenartiger Tüftler, ein einfach nur gelehrter Affe, nennen wir ihn so, eher als Künstler, ein schreckliches Wort, das wir verbannen müssen, zu sehr geprägt von der Schwere der anderen, derer, die alles ignorieren, die das Unaussprechliche definieren und benennen möchten; nun, dieser Affe kann seltsamerweise dort voranschreiten, wo die anderen stagnieren. Und doch könnten die anderen nicht anders sein, wenn sie es wollten; wenn sie die winzige Kühnheit hätten, es zu tun. Und dann wäre es vielleicht wahr, zu sagen, dass alle es sein könnten; dass alle es wären, der einfache und komplexe Künstler, der in ihnen schlummert. Denn wer ist schon besser als dieses Wesen? Manche sind es nicht, manche werden es nie sein, weil sie sich entschieden haben, nicht auf das Leben zu hören, das sie leise antreibt. Aber ich kann es ihnen nicht verübeln, ihr unglücklichen Holzpantoffeln. Nein, er, der Kerl und das Mädchen, die basteln, sind echte Wanderer, Söldner zum Spaß, irgendwas von all dem, die sich bemühen müssen, nicht "ihre Welt" zu täuschen, die nie die ihre sein wird, sondern die andere, die sich "Welt" nennt. Ein schöner Usurpator, eine wachsende Maschine, die jedem vorschreibt, wie er sich zu verhalten hat, zum Wohle eines hypothetischen großen Ganzen, zu dem du niemals gehören wirst, du, der du davon träumst, ein bisschen weniger feige und unheimlich zu sein als die anderen. Ein bisschen mehr Höhe in Gottes Namen, du Menschenscheiße! Hör auf, dein Leben zu manipulieren wie den Motor eines alten Autos, das kaum anspringt. Dann ist deine Angst nicht einmal wahr, du infantiler Freund, der sich darüber ärgert, dass er von der Politik wie eine vernachlässigbare Größe, die du bist, herumgereicht wird. Verteidiger von Quadratkilometern, karrenweise Banalitäten; das Leben ist stärker als der Tod... aber ja, aber ja. Sag es noch einmal. Schrei es noch lauter. Gesellschaft des Konsums ohne Konsum; warum sollte man ihr angehören wollen? Um ihr mit Bonmots zu dienen? Aber jeder hat doch den Hass im Leib, komm schon! Nein, das Leben ist nicht das stärkste. Es ist nur die Summe dessen, was wir zu tun imstande sind, das Leben, nicht mehr und nicht weniger. Es ist sogar weit davon entfernt, das Stärkste zu sein, das Leben, das eines Tages plötzlich durch sein angekündigtes Ende eingeschränkt wird. Der Tod droht; nicht seit der Geburt, sondern seit dem Bewusstsein, genau wie der Tod, der sich in unseren Köpfen durch Terroristen aller Art abzeichnet, die sich einen Spaß daraus machen, allen Angst zu machen, vor allem sich selbst. Es ist besser, dem Tod zuvorzukommen, als auf ihn zu warten, nicht wahr? Das ist so viel heroischer. So programmiert, finden ihn einige, die leichter zu beeindrucken sind als andere, weniger beängstigend. Der natürliche Tod ist ein Terrorismus an sich und seine konkrete Umsetzung ein Anschlag auf die Unbeschwertheit unseres Lebens. In jedem Fall ein Attentat auf das Schlimmste, liebes kleines Sieb. Durch deine zu lockeren Maschen zermalmt dich das System. Und das System bist du, bin ich. Es ist wie ein Liebeslied, verstehst du. Und wie der eunuchenhafte Bürger, der von seiner Ohnmacht erschlagen wird, sagt uns auch der bemitleidenswerte Künstler. Nicht einmal Angst, anonym zu bleiben. Nicht einmal Angst, als Kellerassel an den Mauern der Institutionen entlang zu kriechen. Nicht einmal Angst davor, den tugendhaften Weisen zu spielen, der so tut, als hätte er alle menschlichen Dinge durchschaut. Ja, ich bedauere immer noch die mangelnde Wirksamkeit der Lächerlichkeit, wenn es darum geht, den sorglosen, naiven Dummkopf zu töten. Aber jetzt höre ich schon die egoistische Feder rufen: "Aber genau da ist er doch blablabla... rührend blablabla... schön blablabla... sensibel... zerbrechlich... blababla". Aber ja, aber ja. Versuche es noch einmal als Facebite-Kommentator. Je mehr du dich abmühst, desto mehr betonst du das Elend und die Verschlingung deiner armseligen Kräfte, Schatz Schatz. Was geht uns das schließlich an? Und warum sollten wir uns abmühen? Denke und sage, was du willst, aber lenke mich vor allem nicht ab; ich will mich nicht ablenken lassen; ich will sehen, was ist, was geschieht und was getan wird, hier, überall, anderswo. Wie großartig jeder in seinem Streben nach guter Laune ist. Lang leben die Velibs und die Mahlzeiten in der Nachbarschaft! Der König ist doch nackt, oder? Zum Glück für ihn war der König schon damals nur ein Bettler. Solidarität aus Prinzip. Tut mir leid, dieses Mal bin ich es, der dir nicht folgen wird. Ich habe es satt, dir meinen kleinen Donut zu ersparen. Meine Zivilisation ist besser als deine Kultur. Absolute globale totale Dissoziation meines Körpers und deiner Ethik. Nichts zu tun. Mit dir. Nichts zu sagen außer dem, was für dich immer nur meine Inkohärenz und, in meinen Augen immer noch, eine intakte Poesie sein wird, die auf deine Welt reagiert. Also, ich flehe dich an, verstehe mich vor allem nicht. Wenn du wüsstest, wie sehr es mich stört, dir zu schreiben, aber es ist der einzige Weg; es gibt nichts anderes, was ich tun kann, um dich zu unterwerfen. Und das ist mein einziger Wunsch. Im Allgemeinen drei Sterne und immer noch keinen Namen, um mich zu benennen. Schwarz. Schwarze Karte. "Wenn ein Tyrann nach 50 Jahren nicht mehrere Millionen Menschen getötet hat, dann hat er sein Leben verfehlt", sagen diese Typen. Adolphe i toleriert es. Aber bis nach Caen?

Evolution von'einer Zelle, die in Frieden zu einer globulären Form degeneriert | Mischtechnik, Papier und Digital © David Noir
Entwicklung einer Zelle, die in Frieden zu einer globulären Form degeneriert | Mischtechnik, Papier und Digital © David Noir

Degeneriert in Frieden (bis)

Die David Noir Poupées Branl' Show!

David Noir

David Noir, Performer, Schauspieler, Autor, Regisseur, Sänger, bildender Künstler, Videomacher, Sounddesigner, Lehrer... trägt seine polymorphe Nacktheit und seine kostümierte Kindheit unter die Augen und Ohren eines jeden, der sehen und hören will.

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