Attention, ici je tue par la pensée
Se RACONTER des HISTOIRES, c’est MORT !
Reconnaître son petit fascisme naturel, c’est se donner une infime chance d’évoluer en bien.
Ah l'amour (mon cul) possession, quand tu tiens la tête de ta copine sous le bras - les cervicales courbées, on dirait qu'elle va étouffer - comme un gorille trainant son palmier arraché à la jungle !
Mais comment acceptent-elles ça ?
Bienvenue chez vous !
Vous êtes de retour dans les Camps de l’Amor
Vous vous sentirez sous peu à nouveau aimé.es, choyé.es, mais à votre habitude, vous ne saurez qu’en faire, qu’en faire et damnation, qu’en faire et donation, de son vivant
L’intelligence est une récolte universelle et la mauvaise herbe est religieuse
Les sentiments sont comme des envies de chier ou de jouir. Ils poussent, ils sortent et puis s’apaisent avant de revenir
Toujours la même Histoire
Mais moi, je ne vous ai pas compris
Attention, ici je tue par la pensée
Super viseur, je suis et ne peux et ne veux t’épargner
C’est bien fait pour les victimes d’être victimes, n’est-ce pas ?
Il eut fallu tuer en premier, n’est-ce pas ?
Eh ! J’entends siffler le train, pas toi ?
Pitié, donnez-moi du bâclé, du rien, du mal fait. Arrêtez de me polluer avec des œuvres qui veulent me « dire » et voudrait m’émouvoir
Toujours l’insulte infantile fera suite à l’enthousiasme lyrique de l’amour aveuglé par le reflet de soi.
Toute croyance est ridicule ; tu es là pour être rassuré
Moi j’aimerai avoir une sœur pour coucher avec elle à toute heure
Moi, je cherche un nouveau nom pour un sentiment qui n’est pas l’amour, flanqué de son grand A, manipulateur pervers et bêta
Déporter l’Amour, déporter l’Amour,
Ah la musique ! Ah l’amour des portées !
Eh dis, tu te rappelles ? Ce n’est pas parce qu’on est contre la même chose qu’on est ensemble, hein ?
On ne peut pas aimer le nombril de son voisin
La paix entre les individus est au prix du génocide des idéaux de l’amour
Peut-on faire de l’art ? Non, on ne peut pas faire de l’art ; il n’y a que les escrocs qui font de l’art
Les putes ont leurs secrets, bien gardés. Seules les putes savent tout du monde. La sagesse c’est pas les papes de la résilience ; c’est les putes car elles ne vendent rien qu’un souvenir ; pas de bouquin
J’aime les putes
Tu nous fais chier avec ton amour que t’es incapable d’assumer. Et le choix de Sophie, tu connais ?
Dans mon monde, il n’y a pas de vacarme et j’entends tout très bien
Une punition sévère et son application sans complaisance devront être appliqués à quiconque fera résonner l’air jusqu’à le corrompre à coup de poncifs et de clichés
Punition pour colportage de connerie ; l’humiliation ou la mort, tu choiz
Les connexions aléatoires de mon cerveau insensé valent bien ta pensée cohérente
Dis-moi vieux clown, tu dors sur quelle paillasse ?
Essaie donc un peu de l’ouvrir, ta gueule, vieux crocodile
Tu sais, moi le sens de l’ouverture des portes, de toutes façons, je m’en chambranle
Tu piges amas rayé ?
Ici c’est rue minée,
Mort aux vaches,
Tu vois indélébile mental,
Revois un peu tes idées toutes fêtes
Vivre n’est pas un droit
Aimer n’est pas un devoir
Exister est un enfantillage
Et malgré cela, il y a des cœurs qui croient qu’ils battent
Slam fatigue
Moi j’voudrais faire un slam pour tout ce qui travaille à 4 pattes
Mais qui n’est pas infâme
J’ voudrais faire le ménage dans les étalages plein de bonne volonté
Nettoyage et te nique, il faut tirer le bon parti des techniques
Pour moi, ce sera le génocide acide appliqué à tes états d’âmes et à la médiocrité des mœurs
Je cherche un peu d’humanité avec une baguette de sourcier
Shoah ira mieux demain
Mais attention, salope
Habeas prépuce !
Les filles qui font circoncire leur enfant devraient être excisées en retour
Le 1er métier de l’homme est de devenir intelligente
Le second est d’apprivoiser la mort, ce qui doit revenir au même
Note à benêt : Il n’y a pas d’ordre à ces propositions
Mon cerveau est tombé par terre
Mon cerveau, c’est le Tibet
Il s’est exilé de ma tête,
chassé par des locuteurs chinois
Tous ceux qu’il ne comprend pas
Je l’ai quand même ramassé …
au cas où
Le sexe se pratique mais la frustration est impossible à dire
Il y a de longs rapports entre mon sexe et les horreurs du monde
Entre ma haine, que j’aime autant que les objets que je hais, et le désir d’aimer, de violer et d’anéantir
Jouir comme un homme n’est pas surprendre le trou d’autrui
Jouir en homme est être pris sur le vif, en femelle, en salope, en martyr
Toutes les unions sacrées m’isolent
Aucun doute sur leurs bons sentiments assurés
Je ne sais pas ce qui est bien. Je ne sais pas ce qui est beau. Je ne fais pas ça pour que ça soit drôle, ni bien, ni beau.
Au fait, je me masturbe à deux mains pour m’éviter de serrer l’un des tiennes.
Et je comprends fort bien la haine de l’humain.
C’est peut-être elle qui nous sauvera demain.
PS. Vraiment on n’en peut plus de la sortie d’un Dvd de Peau d’Âne tous les Noëls avec de nouveaux bonus …