Sexo Cosmos du Paladin
Vison du Paladin cosmonaute en quête de son ciel infini constellé de vulves candides et de phallus innocents fusionnant.
Ma pornographie
Vison du Paladin cosmonaute en quête de son ciel infini constellé de vulves candides et de phallus innocents fusionnant.
Mon phallus fascinus se dresse, porté aux nues par deux ailes vulves aux allures d’entrées de chapiteau.
Qu’il soit scénique, textuel, sonore, visuel ou graphique, mon art est un art sexuel exclusivement. Il prend sa source dans la fascination pour nos corps.
Ma queue branlée. Apparence douce ou charnellement agressive, heurtante, l’envie de sucer ondoie, ondule. « Dis, dessine-moi un pénis ! »
Oh mon sexe, bout de viande cuivré ! Eh toi ! Touche-toi la. Le corps est ainsi fait. Le nier est pure bêtise. Queue ça te plaise ou non.
J’ai vu la verge, petite sœur de branle et de la hauteur de sa hampe dressée, elle m’a dit : » Mangez, ceci est mon sexe ! Buvez, ceci est mon sperme «
Ma bite est mon amie. Elle est mon apanage de garçon. J’aime primitivement être ce que je suis. J’aime mon sexe érigé autant que flaccide.
Une ode à l’exhibition sous la forme d’un parcours initiatique. L’univers fantasmatique d’un homme soumis à son sexe et son voyage vers son désir de nudité.
Beauté d’une éjaculation en gros plan. C’est l’une des miennes suavement ralentie. Perle de rosée nacrée, une goutte de sperme se détache de mon gland tendu
» Notre soif de sacré nous emprisonne. Tuons-la avant qu’elle ne nous étouffe. » Un vidéo-collage intempestif sur fond de tragédie historique.
Je regarde avec méfiance celles et ceux qui profèrent les mots avec une aisance exhibitionniste mais qui jamais n’ont la simplicité d’exposer leur corps nu.
Je construis mon tombeau, mon isolement, mon royaume, mon égout. J’équipe mon fragile Nautilus de l’intérieur pour bander comme un gosse à la face du monde.
Les sexes, chattes et queues, sont toujours pétris de l’innocence de leur faible culture | Il est beau que cela soit ainsi
Aujourd’hui, j’ai gardé en moi cette courte heure de pornographie ordinaire comme un de mes plus beaux moments de spectateur de cinéma.
J’écris avec ma bite et signe d’une entourloupe gustative. Idole de cacao, mon phallus devient comestible pour qui peut en sucer le sens.
Est-il donc inconcevable de désirer revendiquer simplement la beauté aimable de ses propres bourses, de ces simples couilles que je chéris, mes testicules ?
L’exhibition heureuse du pénis, flaccide ou rigide, comme condition de l’expression libre d’une masculinité simple et épanouie.
Ça parle du masculin. La tendresse de l’homme pour ce compagnon de toujours qu’est son pénis est une donnée fondamentale pour sa construction psychique.
La sodomie comme geste d’art. J’ai décidé pour cette performance de me faire enculer par un spectateur ou une spectatrice volontaire muni d’un accessoire.