Le petit business de la bienveillance
La peur fait désormais plus peur que la peur. Elle se dissout en surface et renaît en un petit pet de bienveillance commune...
Posts attentats
Fatalement, l’esprit est différent maintenant
La peur fait désormais plus peur que la peur. Elle se dissout en surface et renaît en un petit pet de bienveillance commune...
Au-delà des morts atroces et inutiles, la plus grande victime des ravages de l’époque actuelle est le sens de l’humour.
Un peu de brutalité dans ce monde de poésie. Sans blague. Tu ne crois quand même pas que j’ai envie de rencontrer des humains. Tu n'es pas mon visage. Tu n'es pas mon projet.
Dans une société de guignols, il est naturel de devenir des marionnettes. Reste à pouvoir les doter de corps singuliers et de têtes adéquates.
De quoi bivouaquer post attentats et prendre l'air sur une aire d'autoroute où l’on se parque pour profiter du ciel clair
Je ne vais pas vous parler de ce que ça raconte, parce que j'espère bien que ça ne racontera rien, rien de ce qui se raconte en tous cas. Pas d'histoires.
Non, il n'y a pas de « liberté d'expression », tout autant qu'il y a des limites imposées à la liberté, cela s'appelle la loi...
Combien durera-t-elle, l'indignation dans son expression flamboyante, quand on recommencera à obéir et à nier son identité dès le lendemain ?
La solidarité n'est pas l'affichage de la pensée unique. On ne me fera crier aucun slogan qui ne soit pas de moi. Pas Charlie ce soir, ni un autre jour.
Je témoigne de là où je suis. En bon archéologue, je crée ma ruine. La solitude des champs de l’enfance n’est pas celle que l’on arpente à l’âge adulte.