L’Enfance de l’art
"Enfance de l'art", non au sens de la simplicité (l'enfance peut-elle être simple ?), mais entendue comme aube d'une autre forme: la mise en scène d'un site.
Mode d’emploi
"Enfance de l'art", non au sens de la simplicité (l'enfance peut-elle être simple ?), mais entendue comme aube d'une autre forme: la mise en scène d'un site.
Une promenade à rebours vers la naissance d'une improvisation collective à partir de la performance participative Iconicum donnée au Générateur.
Les Parques sont l’évolution de "La Toison dort" au sens entendu dans la série Pokémon, c'est-à-dire un stade évolué au degré suivant de la même espèce.
Homme femme, enfant bestial, femme enfant… la palette des identités se fait jour à travers l'animalité et les mythologies de notre espèce.
L’apparence existe, je l’ai rencontrée. À toute heure, en tous lieux, à toutes époques de ma vie. Ami.es, amant.es, partenaires, connaissances, famille...
J’écris avec ma bite et signe d’une entourloupe gustative. Idole de cacao, mon phallus devient comestible pour qui peut en sucer le sens.
La préparation des Parques, c’est pour moi vivre chaque jour une vie entière. C’est expérimenter la mort psychique, tant une idée est morte à la suivante
Il est humain et tribal de devoir sans cesse être rassuré sur son appartenance à une communauté et sur l’état relatif de sa condition de solitude
De la genèse de "La Toison dort" en 2005 à la création des "Parques d'attraction" en 2013 : Inquiétante suite dans les idées ou obstination salvatrice ?
Je n’ai rien à offrir qui vous comblera parfaitement. Venez : pour voir. Repartez : sans rien dire. Pensez-en : ce que vous voudrez...