Soudain c’était l’ merdier
Essuie-toi à la trace que laisse minaudant, ta mouche. Ton amour en retour devrait t'être chié dans la bouche.
violence poétique
La poésie ne peut qu’être violence, se doit d’être pure violence et manque définitivement son objet quand elle renonce à l’être car alors elle se détache et abandonne l’humain
Essuie-toi à la trace que laisse minaudant, ta mouche. Ton amour en retour devrait t'être chié dans la bouche.
Mes textes, écrits au fil du temps et progressivement réunis ici à l'état brut, librement téléchargeables au format PDF
"Tu penses que Tim Burton c’est bien mieux que Ed Wood. Tu penses que c’est Wagner qu’a tué Natalie Wood... " | Déni s'opère | AltéréGo!
La paix recherchée à travers la violence des mots. Ici, mise à disposition en lecture libre du texte "Je veux rester un étranger".
Au-delà des morts atroces et inutiles, la plus grande victime des ravages de l’époque actuelle est le sens de l’humour.
Mon art de vivre est nourri de la joyeuse obscénité de l'enfance ; déguisements, maquillages, organes génitaux manipulés comme des jouets et sexualités...
Moi, je passe mes nuits à l’abri. De tout. A l’abri de toi, malgré ta voix suavement moelleusement gravement radiophonique, hygiénique et concernée.
Une ode à l’exhibition sous la forme d’un parcours initiatique. L’univers fantasmatique d’un homme soumis à son sexe et son voyage vers son désir de nudité.
Pardon je passe ! Vous n'avez pas le droit de m'empêcher de passer ! Je n'ai rien à me reprocher. J'ai toujours été en règle avec l'administration. Pardon !
Images simples / Images multiples / Images sobres / Images sales / Je rêve d’images audibles sur de vastes peaux tendues qui feraient résonner leurs sens